Top Legal Voices 2025, votez pour une documentaliste juridique !
Je participe au concours Top Legal Voices, un prix qui récompense l’innovation et l’engagement dans le domaine juridique
Je participe au concours Top Legal Voices, un prix qui récompense l’innovation et l’engagement dans le domaine juridique
Ce compte-rendu d’une partie du 3ème village de la Legaltech est l’oeuvre d’Elsa Bartolucci, documentaliste juridique, geek et technophile, que je remercie pour sa synthèse touchant différents aspects de l’interactions des nouvelles technologies et du droit.
Animée par Marie Bernard, membre d’ELTA (European Legal Technology Association)
Panel 1 :
Intervenants :
Il est proposé de faire une projection à 2030 pour faire évoluer les techniques et investir sur des outils et des objets connectés.
Dans cette optique, la rentabilité doit rester obligatoire : elle s’articule autour de la création de valeur et la création du besoin.
Un des point saillant repose sur la création de la smart data : la donnée doit s’interconnecter à des sources fiables d’information créant ainsi une chaîne de confiance.
Question posée au public 1 – En 2030, le big data juridique, c’est :
Question posée au public 2 – En 2030, à l’interconnexion sera :
Panel 2 : Dynamique industrielle au service du droit ; un paradoxe ou une chance d’accélérer ?
Intervenants :
L’objectif est d’embarquer les professionnels du droit dans une dynamique et leur permettre de jouer sur les données.
Il est recommandé de ne pas se limiter à l’utilisation d’un seul outil, mais d’inciter à utiliser dès aujourd’hui les différents outils pour avoir des rendus variés.
Par exemple, avec des outils de « contract training » et d’extraction de données : généralement ils sont pré-paramétrés par les éditeurs, puis paramétrés et alimentés par les clients augmentant ainsi la valeur ajoutée. En conséquence, les résultats sont totalement différents selon leur utilisation.
La mise en place d’une plateforme globale pourrait amener à la standardisation des protocoles et conduirait à l’émergence d’un nouveau business model.
L’industrialisation des services juridiques sous l’effet des prestataires de Legal tech conduit à une nouvelle méthode d’envisager la prestation juridique sous le prisme du besoin client, de l’ingénierie du service juridique et du marketing juridique.
Aujourd’hui la technologie au service du droit est très précieuse pour toutes les tâches automatisables et standardisables mais pas pour les activités à forte valeur ajoutée.
Le challenge repose sur la question de la compétence des acteurs et de leur capacité de comprendre les questions et enjeux technologiques.
Actuellement le marché des Legal tech entre dans une phase de maturité après une très forte progression ces 3 dernières années. Il convient à présent d’inventer les métiers de demain (exemple : legal designer qui est émergent).
Il existe une certaine forme d’obsolescence car certaines technologies vont être déployées et d’autres abandonnées. Mais à l’horizon 2030, on peut envisager une forte présence des data scientistes.
Il existe un challenge à relever pour déployer des standards d’interopérabilité des données notamment sémantiques en vue de faire communiquer les données.
On remarque actuellement l’émergence d’une demande d’avoir une plateforme unique, un « Amazon du droit » qui combinerait tous les services.
Question posée au public 3 – en 2030, ma structure
Panel 3 : évolution des modes de développement de produits/solutions
Intervenants :
Jean-Marie Valentin (Legal Cluster)
L’Etat n’est pas au centre de la transformation mais il a son rôle à jouer, par exemple dans l’open data.
Il y a plusieurs acteurs sur le marché : l’Etat et le privé, et tout le monde doit intervenir.
Sont particulièrement cruciaux, les enjeux de financement de la transformation digitale des cabinets d’avocats et des directions juridiques ainsi que les enjeux autour des ontologies.
En France, on constate un rôle très fort de la puissance publique, notamment pour l’ouverture des données.
Il est suggéré de s’appuyer sur la force de l’Europe, tout en respectant le principe fondamental de souveraineté. La vision doit s’étendre au-delà de la France sinon, il y a un risque que le droit continental disparaisse face au droit de la Common Law très consommateur de données et de leur analyse.
On constate un besoin de faire émerger une ontologie du droit pour qu’à l’avenir, le droit continental soit en mesure de concurrencer la Common law.
Question posée au public 4 – En 2030, la boite à outil de l‘innovation juridique sera
Avant d’exploiter les data, il faut les créer. Comment créer des data dans les directions juridiques à partir des contrats, et aussi dans les cabinets d’avocats, dans les Barreaux, etc. ?
Il convient de faire émerger un écosystème grâce à des partenariats, entre directions juridiques, cabinet d’avocats… mais aussi avec d’autres acteurs : Microsoft, école 42…
Question posée au public 5 – en 2030, ma structure
Question posée au public 6 – Quelle est votre stratégie pour 2030
Panel 4 : conclusion
Animateur : Benjamin Jean
Patrice Vidon Compagnie Nationale des Conseils en Propriété Industrielle
Mais le besoin de sécurité et de transparence restent encore très fort actuellement.
Christiane Ferahl Schul, Présidente du Conseil National des Barreaux
Notaire
LEXpériences – Elodie Teissèdre
Open Law s’investit dans le legal design depuis plus de 2 ans
1er axe d’amélioration : le recours à de l’empathie pour mettre en cohérence le style écrit et oral de l’avocat et remettre de l’humain dans le formalisme des documents.
Exemple : passer d’un document de 35 pages (anxiogène) à un document qui donne envie d’être lu (facilite les relations).
On poursuit deux objectifs :
Quel est le parcours utilisateur ?
Quelles réactions la lecture provoque-t-elle ?
Les obligations constituent une suite d’injonctions qui permet à l’avocat de se prémunir de tout risque avec le client. Mais ne peut-on pas présenter les choses d’une façon plus empathique et sous l’angle de la collaboration ? Il est important d’expurger le contrat en ce sens.
Les deux personnages
On utilise deux personnages pour lever le voile et donner un maximum d’information pour être bien compris en expliquant les missions, la convention d’honoraires, les tarifs, etc… pour permettre une plus grande bienveillance, créer de la confiance et décourager certains comportements de défiance ou de mauvais payeurs…
La série d’e-book avec des personnages
On a recours à l’empathie pour faciliter l’appréhension d’un sujet, la projection et la mémorisation.
Ont été créés quelques petits e-book sur un sujet. Ici, c’est le cas d’un divorce : on explique à chaque moment ce qu’il se passe. La personnification permet de ramener l’humain et d’ancrer les informations dans le réel. L’émotion est utilisée pour interpeller et ajouter un autre niveau de compréhension / lecture
Itération – Marie Potel Alexandra Sabbe-Ferri (mesindemnités.com)
Signification d’itérer
Objectif : créer une solution que les utilisateurs voudront utiliser, acheter, recommander
Comment
Les deux personnages
On utilise deux personnages pour lever le voile et donner un maximum d’information pour être bien compris en expliquant les missions, la convention d’honoraires, les tarifs, etc… pour permettre une plus grande bienveillance, créer de la confiance et décourager certains comportements de défiance ou de mauvais payeurs…
On a recours à l’empathie pour faciliter l’appréhension d’un sujet, la projection et la mémorisation.
Ont été créés quelques petits e-book sur un sujet. Ici, c’est le cas d’un divorce : on explique à chaque moment ce qu’il se passe. La personnification permet de ramener l’humain et d’ancrer les informations dans le réel. L’émotion est utilisée pour interpeller et ajouter un autre niveau de compréhension / lecture
Itération – Marie Potel Alexandra Sabbe-Ferri (mesindemnités.com)
Signification d’itérer
Objectif : créer une solution que les utilisateurs voudront utiliser, acheter, recommander
Comment
Retour du beta test assez négatif
Collaboration au cœur du Legal Design – Marie Potel (Agence dot)
En introduction, présentation de son retour d’expérience en tant que directeur juridique de MAC (Cosmétique, maquillage) ayant mise en place des ateliers pour reprendre 700 CGV par marque et pays. Elle reconnaît avoir eu besoin de faire du marketing, d’avoir un sponsor, des utilisateurs clés.
Points clés
Cas d’étude : design d’un SLA (Service Level Agreement = convention de service) pour JURO (une plateforme d’automatisation de contrats)
Analyser et sélectionner l’information
Utilisation du « Magic Wand » à savoir poser la question : si vous pouviez changez ce que vous désirez sans restriction de temps, budget… que feriez-vous ?
Elaboration d’un prototype
Pour en savoir plus http://www.margarethagan.com/ & http://www.openlawlab.com/
Approche centrage utilisateurs dans la façon de délivrer un conseil juridique
Outils suggérés et gratuits : easilly, unslash
Les Directions juridiques viennent pitcher et montrer les technologies qu’elles utilisent !
1) Présentation du prix de l’innovation en management juridique – Christophe Albert, directeur du Village de la justice.
2) Retours d’expériences – Isabelle de la Gorce PWC, avocate associée M&A, et responsable de la transformation
3) Présentation de 5 chantiers digitaux EDF – Julie Amiot, chargée de mission digitale EDF
Présentation de la DJ et des juristes
Journée de réflexion de toute la DJ à l’issue de laquelle 5 projets ont été décidés
Partage des données / gestion des connaissances : Chatbot
Pour chaque projet : 1 pilote au sein de la DJ et 1 sponsor au sein du CODIR DJ
Pour conduire ces projets : recrutement de 45 volontaires
Réseau social de la DJ
Intranet dédié avec des trames de contrats et des clauses partagés au sein de la filière juridique
Volonté managériale très forte pour tout la direction soit embarquée
Résultats
Pour un récapitulatif plus exhaustif des deux journées voir : Pourquoi il ne fallait pas rater le Village de la Legaltech. Le récap’ de l’édition 2018.
Crédit texte et photos : Elsa Bartolucci
Le jeudi 29 novembre 2016, les clients de la base de de données Lamyline étaient conviés à une soirée de lancement de la nouvelle base.
Une soirée assez surprenante dans son organisation : salle high-tech façon boite de nuit, vision sur écrans à 360 degrés, démonstration live par Vincent Henderson revêtu d’un polo noir et d’un micro filaire pour renforcer « l’effet Steve Jobs », mise en scène très américaine de l’entrée des intervenants, incrustations des photos des clients sur les écrans pour accompagner le lancement du cocktail. Bref, nous étions très loin des dorures, de la moquette et des moulures des traditionnelles réunions dans les salons d’hôtels parisiens.
Cette manifestation tech, en droit augmenté comme l’indique le slogan de la marque, n’était peut-être pas qu’une question de mode mais bien une réalité de l’indispensable mutation des éditeurs juridiques.
Si l’on tient compte du poids de plus en plus important au niveau français comme européen de structures de type OPEN LAW qui ont pour but à la fois de diffuser gratuitement les données juridiques publiques et d’inciter les legal start-up à s’emparer du Big data pour innover en terme de produits documentaires et de services, on comprend facilement que les éditeurs juridiques doivent impérativement innover et augmenter leurs contenus d’une forte valeur ajoutée pour ne pas risquer de se faire « ubériser ».
Capitaliser sur les documents anciens, car la numérisation du droit est récente (années 90) donc tout ce qui est antérieur est très convoité. Ainsi, la possibilité de consulter les archives des ouvrages, des articles de doctrine et des fonds officiels est un atout.
Toujours plus de commentaires, d’abstracts et de contextualisation de l’information, de mises à jour en temps réel et aussi de relations entre les documents.
S’associer à d’autres éditeurs pour enrichir certains contenus qui seraient considérés comme limités par l’éditeur. Chez Lamyline l’association se fait avec l’éditeur Lexbase qui propose des fonds en civil, pénal et public.
avec une bonne visibilité et un bon référencement, y compris sur Google. Une partie du contenu des informations du site Actualités du Droit est ainsi disponible en version freemium ce qui permet à l’éditeur de se faire référencer et indexer par Google surtout sur des sujets très pointus. Cependant, les clients de la solution restent les seuls à bénéficier de l’intégralité et de l’exhaustivité du contenu Actualités du Droit.
Possibilité de paramétrer des alertes à partir d’une recherche ou sur des documents pour être prévenu lors de leur modification.
Une recherche sémantique de plus en plus performante : l’utilisateur tape quelques mots dans la barre de recherche et l’outil lui propose des associations pertinentes. L’éditeur a été précurseur en ce qui concerne cette technologie = autocomplétion ou autosuggestion.
Proposer un suivi graphique de l’affaire ou chaînage des décisions de jurisprudence ce qui permet de gagner du temps dans la recherche. Si l’on ajoute à cela des recommandations de jurisprudences liées et des commentaires, on enrichit encore plus l’expérience utilisateur.
Proposer un versioning des textes législatifs afin de repérer visuellement et très rapidement les évolutions des dispositions législatives.
Prévoir un usage en mobilité, sur tous supports car c’est toujours la tendance actuelle.
L’ergonomie, la facilité d’utilisation et de connexion des utilisateurs sous toutes les configurations est aussi un élément clé de la prise en main de l’outil (ou à l’inverse de frustrations et d’abandon si la solution n’est pas assez facile à utiliser).
Il faut souligner la volonté de l’éditeur Lamy d’être à l’écoute des clients. Cette volonté s’est clairement manifestée par :
Et enfin une soirée de lancement moderne, ambitieuse qui donne envie de tester les nouvelles fonctionnalités en espérant que le rapport qualité/prix de la nouvelle version de Lamyline restera acceptable pour les utilisateurs.
Site : www.toutsurlamyline.fr
E-mail : contact@lamyline.fr
Merci à Sandrine Esclangon (membre de Juriconnexion et Juriformation) pour son aimable relecture.
Crédit photos : compte Twitter @WoltersKluwerFr
En complément de mon récent article sur les sources à suivre dans le domaine du droit et de l’innovation, j’ai proposé à Alexis Deborde (Leganov) de nous parler de son initiative de newsletter sur ce sujet.
Une interview qui parlera aux acteurs du droit concernés par ce sujet, tout comme aux documentalistes et veilleurs puisqu’il est question de la veille comme arme stratégique des décisionnaires.
Comment vous est venue l’idée de créer une newsletter sur le sujet Droit & Innovation ?
C’est le thème de prédilection de Leganov qui accompagne les professionnels du droit dans leurs initiatives innovantes.
Avec l’émergence des Legal Tech et l’accélération de la transformation des professions traditionnelles du droit, c’est un sujet de plus en plus discuté et débattu et il nous est apparu naturel de partager nos lectures les plus pertinentes à tous.
Quel est l’objectif de votre newsletter ? Quel public visé ?
Notre objectif a d’abord été de gagner du temps en cherchant à automatiser notre veille quotidienne sur le secteur de l’innovation et du droit.
Une fois cette première étape réalisée nous avons jugé opportun de diffuser cette veille à travers une newsletter aux acteurs concernés par ces problématiques dans un but d’information et de sensibilisation.
De plus en plus de professionnels ou acteurs du droit sont intéressés par les actualités touchant à la transformation des professions juridiques sans néanmoins disposer du temps et des moyens suffisants pour rechercher activement ces informations.
La veille Leganov c’est une compilation des informations essentielles de la semaine en un seul mail !
Comment avez-vous identifié les sources à suivre ?
De par notre positionnement et les partenariats que nous avons noués avec les acteurs majeurs de ce secteur (associations, legaltech, etc.), nous sommes depuis plus d’un an connectés à l’écosystème œuvrant pour l’innovation dans le secteur juridique.
Nous avions donc naturellement déjà identifié les acteurs et les sources d’information à suivre. Un travail important sur la compilation et le trie de ces informations par mots clés ou expressions a cependant dû être réalisé.
Quels outils/services utilisez-vous pour collecter l’information sur le sujet Droit & Innovation ?
Nous réalisons notre veille essentiellement à partir de flux RSS et utilisons Inoreader comme agrégateur de flux.
Cette plateforme de veille permet d’économiser le temps passé à vérifier tous les sites d’informations, réseaux sociaux, forums etc. par vous-même, en paramétrant les sources d’informations souhaitées. Ainsi le contenu arrive directement sur la plateforme !
Nous pouvons ensuite affiner nos recherches avec précision. En effet s’il est possible de suivre les actualités sur des mots-clés spécifiques, la plateforme offre également la possibilité de créer des règles pour filtrer les flux entrant afin d’obtenir des résultats de recherche répondant au mieux aux actualités recherchées.
Les flux pourront ensuite être classés dans des dossiers ou encore être triés par mots clés.
Quel outil utilisez-vous pour diffuser votre newsletter ?
Concernant la diffusion de notre newsletter, nous utilisons MailChimp, un outil puissant dédié à l’envoi de lettres d’information.
Parmi les fonctionnalités les plus intéressantes de cet outil, nous pouvons citer la possibilité de concevoir plusieurs lettres d’information automatisées à partir de fils RSS (à une fréquence sélectionnée par avance) après avoir créé une liste de destinataires; ou encore l’accès à des statistiques très utiles concernant votre campagne de newsletter (taux d’ouverture, nombre de clics sur les liens etc.)
La veille métier est-elle selon vous un facteur de différenciation ?
Quel que soit le type de structure ou secteur d’activité, la veille est essentielle en ce qu’elle donne aux dirigeants la possibilité d’anticiper afin de prendre les décisions adéquates au bon moment.
Dans une société où tout évolue très rapidement, les enjeux d’une veille peuvent être multiples.
Qu’il s’agisse d’une veille concurrentielle, juridique, technologique ou encore de notoriété, il est crucial d’être informé et de pouvoir réagir rapidement.
Evidemment, rechercher toutes ces informations prend énormément de temps, il est donc indispensable d’apprendre à utiliser des outils permettant de collecter ces informations et d’être alerté en temps réel ou de faire appel à un expert en veille.
Quels sont les retours sur votre newsletter ?
Il y a actuellement près de 600 inscrits ce qui est un excellent début et cela prouve qu’il s’agit d’une thématique très surveillée.
Avez-vous d’autres projets de veille sur des thématiques touchant à l’activité juridique ?
Une veille répond avant tout aux besoins et objectifs déterminés à l’avance par celui qui l’entreprend.
Avec notre veille en « Droit et innovation » nous partageons à nos prospects et nos clients des informations susceptibles de les sensibiliser aux enjeux des problématiques que nous traitons avec eux.
Pour le compte de nos clients nous avons mis en place des veilles couvrant une vingtaine de thématiques différentes en fonction de leurs objectifs.
Qu’elles soient destinées aux dirigeants de cabinets d’avocats (veille réglementaire, concurrentielle ou de notoriété dans la plupart des cas) ou à leur clientèle (veille secteur) afin mieux connaître leur secteur d’activité et d’améliorer leur relation-client, les newsletters sont toutes réalisées et programmées avec une périodicité déterminée (quotidienne, hebdomadaire ou mensuelle).
S’inscrire à la veille Droit & Innovation de Leganov : ici
En savoir plus sur les outils de veille sur le blog Keep It Simple : ici
Quelques sources d’information sur un sujet qui alimente beaucoup la blogosphère depuis quelques mois. On les comprend, les avocats ont peur de « l’ubérisation ». La parade c’est l’INNOVATION !
Au programme : étude, thèse, conférence, meet-up, atelier, workshop, articles, newsletters, twittos à suivre et veille.
Merci à Jean Gasnault pour quelques sources communiquées.
L’innovation dans la profession d’avocat. Une étude réalisée par la Clinique de l’Ecole de Droit de Sciences Po en partenariat avec l’Incubateur du Barreau de Paris, Décembre 2015
Avec une intéressante bibliographie en fin d’étude.
Comment la digitalisation démocratise l’accès au droit ? par Blandine Jugé
Ma thèse en 2 minutes :
http://www.huffingtonpost.fr/2015/04/21/avocats-start-ups_n_7105994.html
L’Incubateur du Barreau de Paris : http://incubateur-barreaudeparis.com/
Innovation juridique par Le Village de la justice /LegiTeam : http://www.innovation-juridique.eu/ et la rubrique Management\Technologies et innovations pour les métiers du droit sur le site http://www.village-justice.com/
JINOV (les journées de l’innovation du Droit et du Chiffre) (Arnaud Dumourier) : http://www.jinov.fr/.
Voir aussi http://www.lemondedudroit.fr/
OpenLaw : http://openlaw.fr/
Open Law, le droit ouvert est un projet de cocréation destiné à mettre en valeur le droit ouvert, accompagner globalement l’ouverture des données juridiques et stimuler l’innovation collaborative autour des données juridiques ouvertes.
Voir aussi la page Legal Innovation Paris Meetup http://www.meetup.com/fr-FR/Legal-Innovation-Paris/ pour le calendrier des manifestations.
Possibilité de recevoir la newsletter OpenLaw suite à une participation aux différents Meet-Up ou Programme organisés par l’Association Open Law.
La presse juridique : voir notamment la LJA, les Petites Affiches, la Gazette du Palais, le Recueil Dalloz, Dalloz Avocats, la Semaine Juridique, …
Les Echos, Le Nouvel Économiste, L’usine Digitale… font régulièrement des articles sur ce sujet.
Une newsletter Droit & Innovation a été lancée en 2016 par Leganov (Alexis Deborde)
Inscrivez pour recevoir notre veille Droit & Innovation chaque vendredi midi ! https://t.co/ExkB5fNPbZ : http://www.leganov.com/
La newsletter de Darwin Consulting (Etienne Vandewalle) dédiée à L’innovation juridique, fiscale et comptable http://eepurl.com/bRK8qP
« Nous assurons une veille permanente sur les innovations et bonnes pratiques au niveau mondial et un suivi constant des avancées technologiques et des innovations de rupture : services en ligne, mobilité, web sémantique, réseaux sociaux, e-learning, data, objets connectés… »
Formulaire d’abonnement http://eepurl.com/bEHeYD
Elodie Teissedre est la curatrice du Scoopit Droit d’avenir, la revue du changement chez les professionnels du droit : http://www.scoop.it/t/good-news-by-elodie-teissedre
Un tel sujet ne peut que faire le buzz sur Twitter.
Quelques twittos à suivre :
@adumourier
@AlexisDeborde
@BlandineJuge
@clarisseberrebi
@juridique_innov
@LEGA_NOV
@l_incubateur
@OpenLaw_fr
@wickers_t
et quelques hastags : #droit #innovation #avocat #legal #tech #legaltech #startup #transformation #numérique #ubérisation
D’après une récente étude L’avocat et l’information juridique sur internet par Solulaw
68% des avocats interrogés (entre juillet 2015 et janvier 2016) se disent prêt à innover pour faire évoluer leur pratique
Etude complète ici : https://www.solulaw.com/docs/avocat_et_information.pdf,
et analyse ici : https://blog.solulaw.com/2016/02/29/si-les-avocats-prenaient-le-controle-de-linfo-juridique-en-ligne/
Attention, à l’overdose. En 2015 c’était le terme BIGDATA qui était à la mode. En 2016, je prédis un bel avenir à INNOVATION !
Pourtant, nous savons depuis les années 70, qu’en France on n’a pas de pétrole mais on a des idées !
Se méfier des « y’a qu’à faut qu’on… » !
Entre toutes ces lectures, ces ateliers, ces rencontres, ne pas oublier de garder un peu de temps pour son propre brainstorming et pour innover !
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