Un jour une astuce LinkedIn
Quelques trucs et astuce pour mieux utiliser son compte LinkedIn
Quelques trucs et astuce pour mieux utiliser son compte LinkedIn
Quelques infos sur 3 ateliers Un jour une astuce animés pour le secteur ATCE de l’ADBS.
Support de présentation de l’atelier ADBS Un jour une astuce sur l’utilisation de WordPress pour un blog pro
Retour d’expérience sur la refonte d’un intranet. De SPIP à WordPress.
J’ai connu Marina Rogard via LinkedIn. J’ai été surprise par le fait qu’elle cumule deux fonctions : un poste d’assistante juridique et un poste de rédacteur web freelance. J’ai souhaité, via cette interview en savoir plus sur son parcours.
Quel est votre parcours ?
J’ai un parcours classique d’assistanat en cabinets d’avocats internationaux depuis 17 ans maintenant. Lorsque je suis arrivée à Paris en début de carrière, le premier poste proposé était en cabinet d’avocats, j’ai donc eu la chance de fréquenter de beaux établissements au cours de ces années.
Comment êtes-vous arrivée à répartir votre temps de travail entre deux activités ?
J’ai la chance d’être dans un cabinet d’avocat où la question du bien-être est essentielle. En 2015, lorsque j’ai pris mon statut d’auto-entrepreneur, je ne pensais pas y prendre autant goût. J’ai commencé avec des petits travaux de rédaction web et des travaux ponctuels de connaissances qui me sollicitaient sur des présentations et autres supports de communication. Mon activité se développant, j’ai négocié un temps partiel avec mon cabinet en 2016 afin de répartir mon activité indépendante le matin et l’après-midi mon activité salariée.
Quelles sont les qualités/compétences communes aux deux activités ?
Je séparerais les deux, puisque pour moi ce sont deux univers différents ! D’un côté, l’activité salariée requiert toujours organisation, proactivité, rigueur et de l’autre l’activité indépendante fait appel à mon côté créatif. Certes, je dois aussi être organisée, anticiper les imprévus de mes clients et suivre mes missions avec sérieux, mais la passion l’emporte sur le reste. Les compétences en bureautique sont nécessaires (maîtrise du Pack Office), l’orthographe doit être irréprochable bien sûr lorsqu’on écrit et c’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai passé la certification Voltaire qui est un plus pour mes deux métiers.
Avez-vous des sources (sites internet, experts, formations) à nous recommander pour s’auto-former pour l’écriture pour le web, le SEO, l’animation de réseaux sociaux ?
Je n’aime pas trop donner de recommandations. Selon moi, l’écriture doit être une passion, si on aime ça, il faut écrire, le plus souvent possible, blogs ou autres et se former « sur le tas ». Plus vous écrivez, plus vous vous améliorez. Vous trouverez mille et une méthodes sur le net qui vous promettent de rédiger pour le web en quelques jours. Cela ne s’improvise pas ! C’est un exercice difficile, il faut savoir choisir le bon titre, avoir une bonne dynamique dans le style, choisir un angle différent de ce que vous pouvez trouver ailleurs pour vous démarquer, c’est important d’avoir une touche personnelle. N’oubliez pas qu’un lecteur sur trois passe moins de 15 secondes à lire un article de blog, mieux vaut donc avoir dès le titre et l’introduction, une bonne accroche !
Côté formation, vous en trouverez, mais je vous conseille d’apprendre par vous-même pour ne pas être trop formaté(e).
Pour le SEO, vous trouverez plein de renseignements sur un site que j’aime beaucoup :
https://yellowdolphins.com/publications/articles/methodologie-rediger-pour-le-web/
Pour l’animation de vos réseaux sociaux, vous avez le choix entre Hootsuite ou Buffer.
Quel type de prestations proposez-vous en tant que rédacteur web freelance ?
Je propose de la rédaction de contenus pour sites web. Cela peut être un article sur un sujet d’actualité ou un descriptif de produit pour un magasin de fournitures de bureaux. En fait, on peut être amené à écrire sur tout ! C’est ce qui est le plus passionnant. J’écris également des résumés pour des profils LinkedIn, des newsletters, des communiqués, bref, c’est très varié. Je relis et corrige des documents/mémoires, je réalise également toute une partie création de supports de communication (flyers, présentations, etc.) et je pratique des audits pour des clients pour mesurer l’impact de leur présence sur les sites web et réseaux sociaux.
Qui sont vos clients ?
Aucun client du juridique. Je travaille beaucoup grâce au bouche à oreille et à une forte présence sur le réseau LinkedIn qui m’amène à rencontrer des personnes incroyables.
Vous êtes l’éditeur du blog
https://roggierog.wordpress.com/
Que peut-ton y trouver ?
On y trouve des tutoriels en informatique, bureautique et réseaux sociaux, mais je n’ai plus le temps de m’en occuper depuis quelques mois. Heureusement qu’il a fonctionné à fond pendant 3 ans !
Avez-vous des outils/applications que vous utilisez en tant qu’assistante juridique qui vous rendent également service dans votre vie personnelle ?
Mis à part la bureautique, pas grand chose. Mon métier d’indépendante me donne désormais plus d’occasions de découvrir des outils et applications qui me servent énormément dans ma vie perso.
Quel est d’après-vous l’avenir des professions support en cabinet d’avocats ?
Je crois qu’il faut déjà constamment se renouveler, faire des formations, rencontrer des personnes qui partagent le même métier pour échanger sur des compétences et des expériences. Si on veut rester dans la course aujourd’hui et faire évoluer les fonctions supports, il est nécessaire d’être force de propositions pour amener du neuf à son poste, développer des compétences transverses, décloisonner certains départements. S’enrichir entre pairs est une notion fondamentale.
Que vous évoque le concept de sérendipité…
Laisser faire les choses, s’ouvrir à l’inattendu, se laisser surprendre, se faire confiance.
Merci !
Contact Marina :
LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/marinarogard/
Mail : rogardmarina@gmail.com
Il s’agit d’un livre blanc intitulé Le marketing digital pour les avocats, en 9 leçons. Gagner de nouveaux clients avec l’Inbound Marketing par l’agence 1MIN30. Format PDF, 22 pages, (2012 ?).
https://www.1min30.com/ressource/le-marketing-digital-pour-les-avocats-en-9-lecons
Ce document donne des conseils judicieux principalement sur l’intérêt de tenir un blog juridique pour un avocat avec l’objectif de s’en servir pour développer ses prospects et ses clients.
C’est un document beaucoup plus détaillé et concret que les habituels articles d’agences de communication qui se contentent de dire que bloguer c’est bien et que de ne pas assurer son marketing digital c’est mal !
Un manuel de conseils et de bonnes pratiques pour répondre à 9 questions :
Chaque chapitre de l’ouvrage fait l’objet de recommandations fort pertinentes et vraiment adaptées aux avocats. Un encadré relatif à l’expérience agence clôture chaque chapitre. Cet encadré comprend des incitations neutres de type « si vous recourez aux services d’un prestataire externe », « si vous confiez à un prestataire le développement de votre présence sur le web ».On l’aura bien compris, l’idée est de placer les services de l’agence 1MIN30, auteur du document, mais c’est de bonne guerre !
Ce document me semble très utile dans plusieurs cas :
Plusieurs blogs juridiques d’avocats sont mentionnés au fil des chapitres à titre d’exemples, il est juste dommage de ne pas trouver une liste récapitulative avec les adresses des sites en annexe.
J’adhère à tous les conseils de l’agence sauf celui de l’externalisation de la production de contenus pour un blog juridique.
Je m’explique.
Je trouve primordial de se faire aider par une agence ou un webdesigner indépendant pour la réalisation technologique d’un site internet ou d’un blog juridique. Programmation, ergonomie, graphisme ne s’apprennent pas à la fac de droit, autant les confier à des spécialistes.
Idem pour ce qui est de produire des infographies ou des vidéos professionnelles ou tout type de contenu qui nécessiterait une expertise technologique propre que l’avocat ne possède pas forcément.
Quant au contenu texte d’un site internet, on peut imaginer qu’un avocat serait mieux placé pour défendre ses valeurs même si l’on peut envisager qu’il fasse appel à une agence pour rédiger le texte (à valeur pérenne) à sa place, faute de temps par exemple.
En revanche, pour le contenu d’un blog juridique, qui est du contenu d’actualité et qui va de pair avec la veille juridique et l’expertise de l’avocat, je ne vois pas l’utilité de confier cette tâche à une agence (même remarque pour la tenue d’un compte Twitter). Que direz-vous à votre potentiel client qui vous aura connu par vos billets ou par votre compte Twitter si vous n’êtes pas l’auteur des billets ou des twitts en question ?
Attention je sors du contexte de ce livre blanc pour insister sur ce point de l’externalisation de la rédaction de contenus pour blogs juridiques par des agences de webmarketing, appelées aussi agences de « content marketing ». J’ai récemment lu ce conseil d’externalisation à plusieurs reprises; or il me semble que c’est une erreur.
Le bon conseil serait pour moi : si vous pensez, après étude, que vous n’êtes pas fait pour tenir un blog juridique (ou que vous n’avez pas de temps à consacrer à ce projet), n’en faîtes pas un à tout prix mais concentrez vos efforts marketing sur autre chose.
Ceci dit, ce point n’est pas du tout l’unique préoccupation de l’agence 1MIN30, bien au contraire. Il s’agit juste d’une suggestion parmi beaucoup d’autres. Les missions de l’agence 1MIN30 sont bien plus variées que le « content marketing », voir leur site pour s’en convaincre.
J’aurais juste envie de vous dire qu’il est URGENT de lire Le marketing digital pour les avocats en 9 leçons, d’autant plus que l’été est une période propice à la mise en place de ce type de projet.
Bravo à l’agence 1MIN30 pour la qualité de ses recommandations et merci à Pascal Mendak de m’avoir signalé ce document via Twitter.
Ou comment avoir les cartes en main !
Réaliser une arborescence du contenu et des fonctionnalités.
J’ai découvert cette méthode dans le cadre du MOOC architecture de l’information #archinfo et plus particulièrement dans la session intitulée « Savoir structurer l’information, les données et les ressources documentaires » (je vous laisse vous référer au MOOC sur FUN pour plus de détails).
https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/ENSDeLyon/14002/session01/about
N’étant pas une « enfant du numérique », j’ai le recul nécessaire pour accueillir favorablement toutes sortes de techniques quelles soient liées à des outils numériques récents ou qu’elles soient plus traditionnelles comme ici.
Définition : le card sorting (tri par cartes, en français) permet d’améliorer la qualité d’un produit en se focalisant sur la définition d’une structure d’information (catégorisation, hiérarchisation et nommage) efficace, qui correspond au modèle mental et à la logique de l’utilisateur. Grâce au tri de carte, vous permettez à vos utilisateurs de trouver plus rapidement et plus simplement les informations qu’ils cherchent.
Par Gautier Barrère et Eric Mazzone dans l’avant-propos de leur ouvrage Card Sorting : ne perdez plus vos utilisateurs ! (Eyrolles, 2012)
La méthode du tri par cartes c’est du « mindmapping à la papa », façon « colle-papier-ciseaux » mais c’est aussi l’assurance que tout le monde peut apprivoiser ce brainstorming et en tirer profit sans s’encombre de l’apprentissage d’un nouvel outil.
On peut envisager plusieurs cumuls de méthodes selon ses préférences, l’essentiel c’est le résultat !
J’ai pour ma part appliqué la méthode du tri par cartes (manuelle) à un projet de refonte d’un site internet personnel sur lequel je travaille en ce moment. Ainsi cet exercice, me permettait de tester cette méthode tout en améliorant ma communication avec le prestataire informatique que j’ai choisi pour m’aider dans cette refonte. Celui-ci se trouve à plusieurs centaines de kilomètres de mon domicile. Mieux structurer l’information de mon futur site, me permet de mieux lui indiquer les directions à prendre.
Pour ce faire, j’ai repris la structure internet de mon site actuel http://cguelfucci.free.fr et j’ai préparé un lot de cartes en découpant des fiches bristol. Puis j’ai écrit sur ces cartes toutes les rubriques/contenus de mon site actuel. J’ai ajouté quelques rubriques/fonctionnalités que je souhaite mettre en place à l’occasion de cette refonte, par exemple des rubriques/fonctionnalités que j’ai trouvé sur des sites que j’aime bien.
L’idée est de réduire le nombre de rubriques pour alléger la barre de navigation qui aurait été trop dense avec une reprise stricte des rubriques de l’ancien site. L’idée est également de mentionner à mon prestataire un certain nombre de fonctionnalités que je souhaite afficher sur la page d’accueil, soit en colonne de droite, soit en bas de page, soit à un autre endroit.
J’ai ainsi réussi à réduire le nombre de rubriques en regroupant les sujets et en les cumulant dans des rubriques plus larges. D’un site avec 15 rubriques, on passe à un site avec 7 rubriques. Je ne suis pas encore satisfaite de l’intitulé de toutes les rubriques mais j’ai mieux le nouveau site en tête ce qui me permettra peut-être de trouver d’autres intitulés.
Les fonctionnalités que je souhaite intégrer sont listées en colonne de droite et en bas de page. Avec le système des cartes, on peut les déplacer facilement et les positionner différemment.
Je me suis inspirée avec satisfaction de la méthode décrite dans la vidéo Card Sorting Tecnhique – Planning a website, vidéo d’environ 12 minutes en anglais sous-titrée en français : https://www.amara.org/fr/videos/B2msiElTpaQJ/url/1575805/
Cette méthode me correspond bien. Je n’hésiterai pas à l’utiliser à nouveau pour d’autres « brainstormings ». Elle peut être utile pour la mise au point du plan d’un site web, d’un intranet, d’un portail documentaire, pour l’agencement des livres dans une bibliothèque ou pour la mise au point du plan d’un document structuré et volumineux comme un livret d’accueil ou comme un projet de livre.
Idéalement il vaut mieux être plusieurs participants afin d’optimiser l’échange sur l’organisation de l’information, sur sa hiérarchisation et sur les termes à retenir pour l’arborescence (une terminologie cohérente pour les futurs utilisateurs).
A noter la méthode du tri par carte peut également se pratiquer sur un mur/un tableau avec des post-its.
A vous de jouer !
Quelques références supplémentaires.
Références consultées grâce aux contributions des membres du MOOC #Archinfo via l’outil de curation Stample.
Tri par cartes : l’architecture de l’information construite par les utilisateurs par Anja Golea (16/01/2015)
MCL : Tri par cartes, card sorting, méthode, atouts, tri ouvert, tri fermé, tri individuel, consensus, ergonomie, utilisateurs, architecture de l’information
Card Sorting : ne perdez plus vos utilisateurs ! par Gautier Barrère et Eric Mazzone. Ouvrage Eyrolles, 2012, ouvrage payant
Fiche de l’ouvrage : http://www.eyrolles.com/Informatique/Livre/card-sorting-9782212134483
MCL : table des matières, préface, avant-propos, extrait (principes de base)
Xmind, créer un schéma pour l’arborescence de vos sites web par Bastien Claude (25/04/2014)
http://wordpress.bastienclaude.fr/xmind-creer-un-schema-pour-larborescence-de-vos-sites-web/
MCL : arborescence, projet web, brainstorming, organisateur d’idées, structurer son site internet, Xmind, n’aborde pas la technique du tri par cartes mais intéressant.
Construire l’arborescence de son site web par La Fabrique du Net (26/05/2014)
http://www.lafabriquedunet.fr/conseils/conception-site-web/arborescence-site-web/
MCL : arborescence, navigation, référencement naturel, SEO, étapes, n’aborde pas la technique du tri par cartes mais intéressant dans sa méthodologie
Improving your information architecture with card sorting : a beginner’s guide by Pierre Croft (20/10/2014)
Descriptif : mode d’emploi « step by step » avec beaucoup de conseils + un cas pratique (refonte du site internet UK animal charity website) présenté en détail
Olivier ANDRIEU. SEO, zéro euro, le référencement web en 4 étapes. Paris : Eyrolles, 2014. – ISBN 978-2-212-14033-0
SEO = Search Engine Optimisation = Référencement
J’avais déjà repéré l’ouvrage sur le site l’Olivier Andrieu http://www.abondance.com/ mais je ne sais pas pourquoi je m’étais mis en tête que le livre était uniquement disponible en téléchargement en ligne alors qu’il est bien édité en format papier chez Eyrolles.
Après avoir lu l’excellente chronique postée par Béatrice Foenix-Riou le 22 décembre 2014, j’ai commandé l’ouvrage pour en savoir plus.
http://www.recherche-eveillee.com/2014/12/seo-zero-euro-referencement-web-quatre-etapes.html
Mon avis sur l’ouvrage.
Le public visé par l’ouvrage
Le public visé n’est pas le même que pour l’autre ouvrage d’Olivier Réussir son référencement web. Stratégies et techniques SEO, 6ème éd. 2014, beaucoup plus détaillé (600 pages). L’ouvrage SEO, zéro défaut ne s’adresse donc pas à priori aux professionnels du référencement mais à ceux qui font du référencement à titre accessoire ou même à Monsieur ou Madame Tout le monde propriétaire d’un site interne ou d’un blog et qui se soucierait d’améliorer son positionnement sur les pages de résultat de Google.
Le contenu
Voir sur ce point le billet de Béatrice. Sachez seulement que la technique du gâteau d’Olivier est tout à fait savoureuse et fera de vous un chef du SEO sans risque de ratage.
Le moule, le code HTML, la partie technique du codage, la façon dont le site a été créé, correspond au chapitre 1, la technique.
Les ingrédients, le contenu textuel de qualité, en quantité suffisante et avec le bon dosage, correspondent au chapitre 2, le contenu textuel.
Le four, représenté par le netlinking, correspond au chapitre 3, les liens.
L’étape 4 permet d’assurer le suivi du référencement.
«Une stratégie de référencement c’est d’essayer de percer un maximum du moteur [Google] pour optimiser au mieux vos pages. » p. 18
La conclusion de l’ouvrage récapitule utilement tous les points abordés.
A retenir la règle des « 4 C » (pas pour chocolat, caramel, citron, cassis – les parfums du gâteau !) mais pour Contenu, Code, Conception et Célébrité.
Les conseils sur l’achat de l’ouvrage
Mieux vaut tard que jamais mais il est préférable de lire l’ouvrage pendant le projet de réalisation du site car un bon référencement commence dès de la création du site.
Et dire que pendant plus de 10 ans, j’ai fait, sur un site internet personnel, des liens internes non signifiants de type : Cliquez ici, En savoir plus, En savoir +, Lire la suite alors que ces expressions ne sont pas pertinentes pour qualifier les pages ! J’ai de la chance que mon référencement soit bon par ailleurs mais sans cette erreur, il aurait pu être encore meilleur !
Comme je le disais : « Mieux vaut tard que jamais… ! ».
L’auteur
Pour reprendre un clin d’œil de la couverture du livre qui ne m’a pas échappé (J’ai de la chance d’acheter ce livre), nous avons de la chance en France d’avoir, en la personne d’Olivier Andrieu, grand spécialiste du SEO, un auteur vraiment limpide et très drôle. Transformer un sujet aussi complexe de prime abord en un atelier ludique est une sacrée prouesse. Comme Béatrice, je n’ai pas envie d’appeler l’auteur Monsieur Andrieu mais Olivier, tellement il est sympathique dès l’introduction.
J’ai aimé
Les passages concernant WordPress.
Dans la partie Technique, faire le point avec clarté sur l’ensemble des balises.
Apprendre des choses, mais aussi découvrir que le SEO c’est aussi de la logique, de l’organisation et du bon sens et qu’il faut adapter sa stratégie à son métier, son vécu numérique et son expérience. Etre confortée dans certaines pratiques intuitives mais aussi apprendre beaucoup de l’expérience d’Olivier. Il n’est pas avare d’astuces et de conseils pour vous faire progresser dans l’optimisation de votre référencement.
De bonnes pratiques tout en s’amusant : l’alternance des exemples parlants et bien expliqués et de contre exemples de ce qu’il ne faut pas faire.
Relire à plusieurs reprises que la création d’un site original au contenu de qualité est la clé d’un bon référencement naturel.
J’ai regretté certains points non traités comme : l’influence des réseaux sociaux, les redirections…
Pour cela, il faudra que j’achète l’ouvrage Réussir son référencement web.
En conclusion : je recommande vivement ! Je reprendrais bien une part de bon SEO ! Je me suis régalée !
Je vous laisse. Je m’en vais de ce pas appliquer les conseils d’Olivier sur les liens en lui demandant s’il accepte d’insérer un lien vers ma chronique dans la page qui recense les articles de presse sur son ouvrage, ici : http://www.livre-referencement.com/seo-zero-euro/presse.html ou peut-être ici, pour ce qui est de mon témoignage http://www.livre-referencement.com/seo-zero-euro/temoignages.html
Si vous souhaitez en savoir plus sur les deux ouvrages d’Olivier Andrieu sur le référencement (SEO Zéro Euro et Réussir son référencement web), les livres sont mis en perspective sur cette page : http://www.livre-referencement.com/
J’aimerais entrer en contact avec un/une gestionnaire de l’information pour une société cotée afin d’en savoir plus sur son parcours professionnel et sur la présentation de ses activités.
Si vous exercez ce métier, pouvez-vous me contacter ? cguelfucci [chez] free [Point] fr
En effet, lorsque je lis la Recommandation AMF n° 2014-15 concernant la communication des sociétés cotées sur leur site internet et sur les médias sociaux (9 décembre 2014), je me dis qu’un documentaliste ferait merveille dans le respect de la recommandation :
« Il est donc essentiel que l’information publiée sur les sites internet corporate soit complète, équilibrée dans sa présentation, facile d’accès, à jour, et archivée pendant un délai adéquat ». (§1)
Dans la recommandation en question, j’ai repéré plusieurs fonctions que certains documentalistes occupent :
♦ Webmaster/Webdesigner/ergonome : pour l’accessibilité (§ 1.1) et la mise à jour des informations financières (§ 1.2).
Les informations les plus sensibles doivent être horodatées et il doit être possible d’y accéder avec un minimum de clics. Ces informations doivent être exactes, précises, sincères et faire une présentation équilibrée des risques et des avantages que représente la société pour les investisseurs;
♦ Community manager : pour l’accessibilité (§1.1) et l’ensemble des recommandations relatives à l’utilisation par les sociétés cotées des médias sociaux (§2),
Les informations privilégiées ne peuvent être diffusées sur les réseaux sociaux qu’après avoir fait l’objet d’un communiqué de presse intégralement diffusé. Un lien vers ce communiqué doit renvoyer vers une information complète:
a – Le community manager met en ligne un communiqué financier complet sur le site internet de la société cotée,
b – Le communiy manager peut ensuite relayer l’information sur les réseaux sociaux avec un lien vers le communiqué financier d’origine.
Le communtiy manager pourrait aussi aider la société à établir une charte d’utilisation des réseaux sociaux par les dirigeants et salariés « afin de les sensibiliser aux problématiques particulières de la communication des sociétés cotées sur ces médias et d’attirer leur attention sur la prudence nécessaire dont ils doivent faire preuve ». (§ 2.1)
♦ Record manager / archiviste : pour le respect des obligations d’archivages de la directive Transparence, qui requiert que les rapports financiers annuels et rapports financiers semestriels restent à la disposition du public pendant au moins dix ans (§ 1.3) ;
♦ Veilleur / gestionnaire d’e-reputation : pour la mise en place d’un processus de veille active (§ 2.2) et pour la mise en place d’une procédure interne de réaction rapide en cas de rumeurs (§ 2.4).
Si ce n’est pas un profil de documentaliste web 2.0 qui est décrit là, je ne m’y connais pas !
Source :
Communiqué de presse de l’AMF du 9 décembre 2014 : L’Autorité des marchés financiers publie une recommandation sur la communication des sociétés cotées sur leur site internet et sur les médias sociaux – Voir ici.
Mise à jour de juin 2015
Comment construire sa rubrique «relations investisseurs» par Guillaume Clément in Option Finance du 15 juin 2015, n° 1322, pp. 39-41
Chaque année, de nouvelles entreprises françaises ajoutent à leur site Internet une rubrique dédiée spécialement à la communication financière. Un chantier que les directions financières doivent appréhender en composant avec la réglementation de l’AMF, ainsi qu’un budget et des ressources humaines souvent limités.
Article disponible sous réserve d’abonnement à Option Finance.
Ma description de l’article : information financière, information réglementée, communication financière, AMF, rubrique finance, rubrique investisseurs, internet, webmaster, SEO, référencement, arborescence, introduction en bourse, réseaux sociaux, archivage, choix des contenus, audience visée (investisseurs institutionnels, actionnaires individuels, petits porteurs, professionnels de la finance, analystes).
Dans cet article qui porte sur l’information financière des sociétés cotées, les fonctions de webmaster, community manager, content manager, documentaliste ne sont pas évoquées. On parle plutôt de « membres de la fonction finance », de service informatique, de prestataire externe ou d’agence. « On n’imagine pas le temps que peuvent prendre la sélection des contenus à mettre en ligne et le choix de leur mise en forme ». Certes ! Sans doute faudrait-il confier ces tâches à un professionnel de l’information ?
Avocats et ordres du 21e siècle : ouvrage collectif de la conférence des bâtonniers sous la direction de Jean-Luc Forget et Marie-Anne Frison-Roche. Paris : Dalloz, 2014. – (Thèmes & Commentaires). – 252 p. ISBN : 978-2-247-13530-1.
Un ouvrage prospectif et intéressant à plus d’un titre au moment où la profession d’avocat se sent menacée par la réforme des professions réglementées.
Ce livre sorti le 22 octobre 2014 contient un chapitre intitulé L’impact de la dématérialisation et des nouvelles technologies sur la profession d’avocat rédigé par Jean-Luc Médina et Thierry Wickers.
De ce chapitre, je souhaiterais porter à votre connaissance quelques points qui impactent certes les avocats mais également les fonctions support qui travaillent pour eux à savoir les documentalistes juridiques, les responsables communication et business development, les informaticiens et indirectement les éditeurs juridiques. Je me suis concentrée uniquement sur quelques points d’un chapitre qui en contient beaucoup d’autres. Les citations sont en italique, [mes remarques sont entre crochets].
L’information juridique devient accessible sur internet (p. 67)
La facilité avec laquelle l’information est accessible sur internet conduit à la dissipation de l’asymétrie d’information [sous-entendu entre le client et l’avocat]…[Le client] ne sollicite plus du professionnel qu’une confirmation, ou une interprétation […] Avec big data, l’internaute a un libre accès à une information qui lui permet aussi de mieux juger la plus-value apportée par la prestation de l’avocat.
L’intelligence artificielle concurrence les professionnels (pp. 67-68)
A partir de l’exploitation systématique de données comme le montant des pensions alimentaires, ou les chiffres d’indemnisation du préjudice corporel, des systèmes dotés d’une puissance de calcul adéquate doivent être capables, après avoir collecté des données personnelles fournies par les internautes, de déterminer avec une précision suffisante les résultats d’un contentieux.[…]Le domaine de la rédaction d’actes est également particulièrement propice à la mise en place de ces systèmes intelligents.
L’intelligence collective concurrence les avocats (pp. 68-69)
Fondamentalement, il n’y a aucune raison pour que le domaine du droit échappe à ce type d’évolution, même si pour le moment aucun « wiki du droit n’a émergé ». […] On doit s’attendre également au partage par les clients eux-mêmes des prestations juridiques dont ils ont fait l’acquisition.
[Et toujours au sujet de l’intelligence et sur le rôle à jouer des éditeurs juridiques] (p.103)
L’avocat peut donc espérer conserver sur ses clients, en tant que professionnel et à condition d’en payer le prix, une certaine avance, et bénéficier des applications les plus performantes. Il est en revanche clair que l’accès aux systèmes intelligents s’imposera de plus en plus aux avocats comme un impératif de leur exercice : en raison des coûts à prévoir, il y a aussi là une incitation forte au regroupement des avocats.
[Sur le Knowledge management] (p. 103)
L’incitation à la spécialisation s’accompagne donc de la nécessité de constituer au sein des cabinets des bases de données de connaissance permettant à ses membres de s’appuyer sur l’expérience du cabinet. [Voir aussi un développement sur la mutualisation des connaissances, même entre cabinets entre lesquels n’existe aucun lien institutionnel].
[De très intéressants passages sur l’e-réputation à voir en détail dans le livre] (pp. 75-78)
Mais peut-on imaginer que l’on choisisse un avocat après avoir interrogé son réseau personnel sur Facebook, ou son réseau professionnel sur LinkedIn ? La réponse est assurément positive. C’est bien aujourd’hui à travers la mobilisation du réseau personnel et/ou du réseau professionnel que le client choisit son avocat ; or, par hypothèse, le réseau virtuel et le réseau « réel » se superposent en grande partie […] La construction de l’e-reputation devient donc une priorité. Les anciens canaux de construction de la réputation ne disparaissent pas, mais le réseau offre la possibilité de bénéficier de l’effet d’amplification lié à la mise en ligne de l’avis ou de la recommandation.
[Suivent de très pertinents passages sur les sites internet d’avocats et leur mise en œuvre qui nécessite des moyens suffisants, la conclusion de cette partie reprend d’ailleurs cette idée :]
Pour bénéficier de manière effective de l’atout que peut représenter cette visibilité accrue, le cabinet doit donc élaborer une stratégie, et y consacrer des moyens.
[En regard de ce chapitre, Christine Féral-Schuhl donne son point de vue, pages 109 à 114. Elle conclue par :]
Les sites des avocats et des barreaux doivent être les premières plateformes de diffusion du droit et s’imposer comme ceux que les justiciables consultent en premier lorsqu’ils éprouvent un besoin juridique.
C’est aux avocats que revient la mission de diffuser le droit.
[Il me semble que cette conclusion est faussée par l’implication de l’auteur dans la lutte contre les braconniers du droit mentionnée dans un paragraphe consacré à ce sujet juste au-dessus. Les avocats ont certes un rôle important à jouer dans la diffusion du droit mais j’en dirais de même au sujet de l’Etat avec Légifrance et la mise à disposition de plus en plus de des données juridiques publiques. Les éditeurs juridiques, sous réserve qu’ils apportent une plus-value à ces données juridiques, ont aussi un rôle important à jouer dans la diffusion du droit, y compris auprès des justiciables avec des solutions de vulgarisation.
J’insiste sur le fait que l’ouvrage est bien plus riche que les quelques passages cités ci-dessus qui m’ont intéressée du fait de leur impact sur nos métiers au service des avocats.
Pour reprendre la description de l’éditeur : « Au travers de l’étude des rapports entre l’avocat et l’économie, des relations entre les ordres et l’Europe, des conséquences de la dématérialisation sur les activités de l’avocat ou encore de l’épineuse et lancinante question de la valorisation de la prestation de l’avocat, la Conférence des bâtonniers invite à une vision prospective de ce que devra être la profession de demain ».].
Voir la conclusion de Marie-Anne Frison Roche sur son site : Ordre et avocat. Etre moderne sans se perdre, un beau programme de réflexion !
http://mafr.fr/fr/article/ordre-et-avocat-etre-moderne-sans-se-perdre/
L’ouvrage sur le site Dalloz :
ttp://www.editions-dalloz.fr/avocats-et-ordres-du-21e-siecle.html
Voir aussi un entretien de Thierry Wickers « Profession avocat : quelles perspectives ? » dans le Recueil Dalloz daté du 23 octobre 2014, n° 36, page 2104 où l’auteur revient en trois questions sur le regard qu’il porte sur la profession d’avocat à l’occasion de la sortie de l’ouvrage.
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