Questions / Réponses Notebook LM pour les documentalistes
Q/R lors du webinaire Notebbok LM 1 jour 1 astuce
Q/R lors du webinaire Notebbok LM 1 jour 1 astuce
Support de l’atelier ADBS 1 jour 1 astuce du 15 octobre 2025
Document support de l’atelier ADBS Un jour une astuce du 2 octobre 2025
Un retour d’expérience sur le plagiait d’un article. Copieurs, utilisez vos neurones plutôt que Chat GPT !
Compte-rendu de l’atelier Un jour une astuce sur Perplexity animé par Jean-Christophe Hardel le 30 janvier 2025
Quelques trucs et astuce pour mieux utiliser son compte LinkedIn
Suite à l’AG de l’association Juriconnexion du 28 mars 2017 où Sandrine Esclangon a identifié une tendance à la synthèse chez les éditeurs juridiques, voici un retour d’expérience sur trois éditeurs qui proposent de l’information avec ce type de format.
Pour les besoins de l’article, j’ai choisi de rechercher une synthèse sur l’action de groupe.
Elles sont réservées aux abonnés du portail Lexis360.
Organisées par grand champ de droit, elles résument l’état du droit sur une matière. Elles permettent d’avoir une première approche d’une matière moins connue ou de faire un point rapide sur l’actualité.
C’est aussi une table d’orientation vers les encyclopédies JurisClasseur avec des liens directs vers les fascicules de commentaires qui vous permettent d’approfondir un point particulier.
Le moteur de recherche ratissant particulièrement large, passer par les contenus pratiques (fiches de synthèses et fiches pratiques) est parfois la seule solution pour accéder à l’information sans se noyer dans trop d’informations.
Nombre : 662 synthèses au 28/03/2017, 1292 fiches pratiques au 28/03/2017
Contenu Fiche pratique : éléments clés, textes, références bibliographiques pas uniquement dans le fonds documentaire Lexis, informations préalables, inventaire des solutions et éléments de décision, mise en œuvre, outils (check-list)
Contenu Synthèse : fiche de synthèse, textes, bibliographie pas uniquement dans le fonds documentaire Lexis, orientation (= points clés permettant de s’orienter à la fois dans la synthèse et dans les fascicules du juris-classeurs), actualité
Exemple choisi Action de groupe : Synthèse Institutions et litiges de consommation, 25 pages, mais le sujet est plus vaste que le mon exemple choisi. La partie sur l’action de groupe occupe environ 4 pages
Fiche pratique : Intenter une action de groupe, 11 pages
Avantages : date de fraîcheur et auteurs bien mis en valeur dès le début des fiches, sources bibliographiques variées y compris en dehors du fonds documentaire Lexis, la porte d’entrée du vaste fonds documentaire Lexis.
Inconvénients : pas vraiment synthétique sauf si l’on consulte en premier l’orientation qui est en fait la synthèse de la synthèse !
Nombre : plus de 1200 fiches présentant les principales notions juridiques.
Elles sont disponibles depuis la fin de l’année 2016 sur le site open Dalloz. L’éditeur s’est fait remarquer en livrant en open access du contenu juridique de qualité (codes officiels non annotés, jurisprudence et fiches d’orientation).
Contenu : Définition, références juridiques indispensables, actualité, fiche de synthèse, références bibliographiques dans le fonds documentaire Dalloz
Exemple choisi Action de groupe : Action de groupe (Droit de la consommation), 4 pages, mission bien remplie par Dalloz avec une fiche à la fois synthétique et gratuite !
Avantages : gratuit sur open-dalloz.fr ; également accessibles aux abonnés des sites dalloz.fr et dalloz-avocats
Inconvénients : la fiche n’est pas attribuée à un auteur, les références bibliographiques sont limitées à l’éditeur Dalloz.
L’éditeur Lexbase s’est distingué en étant le premier éditeur à proposer des infographies juridiques.
Nombre : 158 au 28/03/2017
Toute l’information tient sur une page avec une partie rédigée et une partie sous forme de tableau fléché de procédure.
Contenu : objectif, conditions, domaine, procédure
Exemple choisi Action de groupe : Régime spécifique de l’action de groupe en matière de consommation, 1 page
Avantages : outil pédagogique clarifié à l’extrême, contenu à la présentation innovante amené à devenir de plus en plus populaire auprès des utilisateurs, déjà très populaire sur les réseaux sociaux
Inconvénients : pas de possibilité d’approfondir le sujet dans les sources Lexbase ou sources externes, fiche non datée et sans auteur, legaldesign assez pauvre dans le cadre l’exemple choisi mais cela dépend peut-être du sujet ?
Le format synthèse peut être utile pour aborder une matière que l’on maîtrise mal, comme outil d’orientation pour accéder à un fonds documentaire plus dense, pour les étudiants et stagiaires dans le cadre de leurs études, pour le grand public, pour les journalistes.
Chez les éditeurs juridiques c’est aussi un outil marketing dans la mesure où les synthèses sont une sorte de produit d’appel pour mieux faire connaître la marque. Ceci est tout particulièrement vrai chez Dalloz qui propose ses fiches d’orientation gratuitement.
L’aspect synthétique et pratique est séduisant surtout pour le grand public et les étudiants, sans doute un peu moins pour les professionnels du droit.
Le legaldesign pourrait jouer à l’avenir un rôle encore plus important pour clarifier les procédures et aider à synthétiser les idées.
Suite à la Rencontre avec…sur Twitter pour l’information juridique, j’ai eu envie de vous livrer un témoignage sur mon usage de Twitter à la fois en tant que documentaliste juridique et en tant que blogueuse.
Mon précédent article sur ce sujet, Pourquoi utiliser Twitter pour sa veille métier remonte maintenant à novembre 2014. Il est resté d’actualité mais ma pratique a évolué.
Ce témoignage correspond à mon usage. J’espère que ce retour d’expérience vous sera utile et vous donnera quelques idées pour votre propre pratique. N’hésitez-pas à me faire part, via vos commentaires, de vos propres astuces.
Si l’on utilise Twitter à titre professionnel (mon cas), il convient de se fixer une ligne éditoriale. La mienne est en rapport avec mon activité professionnelle de documentaliste juridique et plus largement en rapport avec le contenu de mon blog Sérendipidoc.
Je twitte sous mon nom car je considère que ce compte Twitter pro fait partie de mon identité numérique professionnelle. A ce sujet, j’ai du mal à comprendre les personnes qui twittent de manière professionnelle sous pseudo (sauf si le pseudo est un nom de blog/marque connu de tous), sachant qu’il est désormais possible de suivre anonymement des comptes en les ajoutant à des listes privées. Je trouve même que certains pseudos décrédibilisent les experts qui se cachent derrière alors qu’ils fournissent un travail de veille remarquable. Twitter demande beaucoup d’engagement, autant en tirer parti professionnellement !
J’utilise principalement Twitter pour une veille métier sur les professionnels de l’information (documentalistes, veilleurs, KM), les éditeurs, les agences de communication pour les professions juridiques, certains professionnels du droit, les organisations et associations professionnelles, les éditeurs, les Legal Tech, les concepts en vogue (MOOC, big data, open data, open law, innovation, ubérisation, à chaque année son concept !).
Je surveille également quelques institutions et comptes purement juridiques mais pour des raisons personnelles, je préfère veiller via les newsletters. La durée de vie d’un Tweet est très courte (environ 40 minutes) .En basant ma veille uniquement sur ce média, j’aurais trop peur de passer à côté d’une information importante alors que les newsletters ne s’effacent pas de ma boite de réception tant que je ne les ai pas lues.
Ceci dit, pour une actualité brûlante, la veille sur Twitter présente des avantages : réactions à chaud, premiers commentaires, fuites de documents pas encore accessibles par ailleurs, identification rapide des enjeux.
Twitter est donc un outil régulier pour ma veille métier et un outil complémentaire ou ponctuel dans ma veille juridique ou économique.
Je retweete uniquement les contenus que j’ai lu.
Lorsque je partage une information, je fais en sorte de l’illustrer (pour lui donner plus de chances d’être lue). Au besoin « j’improvise » moi-même une illustration.
Je reprends parfois des informations trouvées via Twitter dans mes produits documentaires.
La contrainte des 140 caractères que j’essaye de tourner comme un jeu.
L’information que l’on ne trouve pas forcément ailleurs. Le côté exclusif. Information inédite ou difficile à obtenir.
L’information pratique, utile, événementielle.
Twitter est une source facile et pratique à consulter sur les temps morts : transports en commun, salles d’attente, etc…
Trouver sur Twitter de nouvelles idées pour produire du contenu sur mon blog. Développer ma sérendipité documentaire !
Les gifs animés qui pullulent sur certains comptes. Souvent importés des USA, d’un goût et d’un humour douteux, je trouve qu’ils polluent visuellement la timeline mais c’est un avis très personnel. En général je me désabonne de ceux qui en abusent.
La publication automatique des tweets. Lorsqu’elle est mal réglée, elle peut inonder votre timeline du fait de la reprise incessante des mêmes tweets. Quand une republication tombe mal par rapport au calendrier (par exemple un article qui vous parle de la magie de Noël en plein mois d’août), je trouve que c’est contre-productif pour l’émetteur.
Les live tweet : je suis mitigée sur ce point.
Lorsque je suis auditeur (j’assiste à la conférence) j’aime me concentrer sur la parole de l’intervenant, sur son support, sur les éventuelles interactions avec la salle et parfois même sur une idée de futur article pour mon blog (secret de fabrique dévoilé !). Je n’ai guère de temps pour penser à la phrase de 140 caractères qui fera mouche pour résumer une conférence d’une matinée !
Lorsque je suis lecteur de ma timeline (je n’assiste pas à la conférence), je trouve les successions de live tweet du type « j’y étais » sans grand intérêt si ce n’est parfois celui d’identifier quelques experts et quelques grandes tendances.
J’essaye de respecter les créneaux horaires stratégiques pour lire et twitter (8h00, 13h00, 19h00 en semaine), même s’il m’arrive de ne pas forcément m’y conformer. Je maintiens une sorte de veille le week-end et pendant mes congés en me connectant au moins une fois par jour si possible.
Je privilégie les messages avec liens, images, infographies.
Je recherche systématiquement les alias des personnes visées mais je ne trouve pas toujours mon interlocuteur ! (Tout le monde n’est pas sur Twitter, certaines personnes ont des pseudos).
J’intègre des hastags # de temps à autre mais pas plus de 2 ou 3 par Tweet car sinon il devient vite indigeste !
Même si je me sers de Twitter pour diffuser les articles de mon blog, je veille à bien partager d’autres contenus. Selon Raphaël Blanchard (TAJ), le bon ratio serait de 80 % d’informations relayées pour 20 % d’informations propres.
Twitter est un relais comme un autre. Il ne permet en aucun cas d’atteindre toute une communauté. Certains de mes articles sont beaucoup plus lus via LinkedIn ou via la newsletter du blog.
Je ne néglige pas ce canal pour autant car Twitter me permet de toucher des lecteurs qui ne sont pas directement dans mon environnement proche.
Lors de la construction du titre d’un article de blog j’essaye de faire simple et concis car il sera plus facile à reprendre sur les réseaux sociaux.
Voir à ce sujet un très intéressant article de Chob sur la rédaction des titres courts.
Pour contourner la limite des 140 caractères certains sites utilisent des illustrations ou des infographies qui contiennent du texte. Voir par exemple les comptes Twitter du Sénat. Il faudra que j’y pense !
Découvertes récemment pour ma part, elles sont accessibles via analytics.twitter.com. Ce module permet d’obtenir des informations quant aux performances de vos tweets.
Le nombre d’impressions indique le nombre de fois que les utilisateurs ont vu votre Tweet sur Twitter et sert à classer vos meilleurs tweets sur une période de 28 jours. Pour chaque Tweet vous pourrez même connaître la portée de l’engagement de vos lecteurs grâce au taux d’engagement et grâce à de nombreux paramètres comme les nombres de retweet, de clics du lien, de réponses, de J’aime, de clics sur le profil, etc… A noter, la portée d’un Tweet n’est pas forcément en rapport avec la taille de votre communauté (nombre d’abonnés) puisque chaque Tweet peut être partagé.
Vous pourrez en savoir plus sur votre Audience et découvrir la répartition hommes/femmes, leur tranche d’âge et leurs intérêts. Grosse surprise pour moi car mes lecteurs sont pour 59 % des hommes qui ont entre 25 et 34 ans alors que mes collègues documentalistes sont principalement des femmes dans une tranche d’âge un peu plus haute pour la plupart !
Passé l’effet de surprise, si vous twittez à titre personnel et non pour une société, ces statistiques sont amusantes à consulter mais ne devraient normalement pas trop interférer avec votre pratique.
Les documents de la Rencontre avec du 20 octobre 2016 sur le thème de Twitter pour l’information juridique.
Liste des opérateurs de recherche avancée de Twitter par Bryan Coder sur son blog Keep It Simple
Compte Twitter : @GuelfucciC
Parfois le fait d’être documentaliste impacte votre vie quotidienne et peut rendre des services grâce à certaines techniques de recherche sur des sites d’usage courant comme Le Bon Coin.
J’ai été surprise de constater qu’il y avait peu d’information disponible sur internet concernant le fonctionnement du Bon Coin. Il existe bien quelques tutoriels sur la façon de passer une annonce mais pas grand choses sur des astuces pour mieux chercher sur le site.
Et pourtant, chercher sur Le Bon Coin conduit parfois à rechercher une aiguille dans une botte de foin, à tel point que l’on se demande comment vendeurs et acheteurs arrivent à se rencontrer, vu qu’ils ne parlent pas toujours la même langue !
Ci-dessous quelques astuces tirées de mon expérience de documentaliste (et de mes propres recherches) pour mieux chercher sur Le Bon Coin.
L’idéal est de trouver la catégorie la plus adaptée à l’objet que vous cherchez. Malheureusement les vendeurs ne classent pas toujours l’objet dans la bonne catégorie. Il faut aussi penser à consulter des catégories connexes dans lequel l’objet en question pourrait être caché.
Un exemple. Pour organiser un déménagement, je cherche des caisses en plastique avec un couvercle rigide. Ces caisses sont utilisées pour le stockage ou le transport. La bonne catégorie pourrait être Matériel Professionnel / Transport – manutention mais une personne avait posté une annonce dans Maison / Accessoires et bagagerie, une autre dans Maison / Bricolage et une autre dans Matériel Professionnel / Restauration – hôtellerie. Chacun son usage, chacun sa catégorie ! Pensez à varier les catégories !
Si je souhaite acheter des pneus pour un véhicule, la bonne rubrique est Véhicule / Equipement Auto.
Le titre de l’annonce étant l’élément déterminant de l’annonce (puisque c’est lui que l’on voit sur la liste de résultats), faire une recherche sur cette rubrique permet de limiter les résultats.
Attention toutefois, si le titre est mal rédigé, vous risquez de passer à côté d’annonces qui peuvent être pertinentes.
N’utilisez donc cette fonction que si vous avez trop de résultats.
Essayer d’imaginer tous les termes que le vendeur aurait pu utiliser pour mettre en vente l’objet. Parfois l’idée d’origine de la recherche (dans votre langage courant) doit évoluer vers un autre terme, utilisé dans un langage professionnel ou marchand.
Dans mon exemple des caisses de déménagement, d’autres termes sont utilisés comme : cagettes, coffre (de rangement), bac mais le terme technique le plus juste est bac gerbable (= bac avec couvercle rigide qui peut être empilé).
Autre exemple : si je cherche à acheter des canevas anciens, il me faudra aussi penser aux termes broderie, tapisserie, ouvrage et par extension cadre ou tableau. Pensez aussi à faire une recherche par le titre de l’œuvre encadrée si vous cherchez un motif particulier de canevas ancien (exemple : La liseuse de Fragonard est un modèle de canevas très populaire).
Pour un meuble de rangement dans la cuisine sur roulettes, on utilisera les termes desserte, meuble de cuisine (d’appoint), meuble de rangement cuisine, table roulante.
C’est en cherchant une image de caisse de déménagement tel que je l’imaginais via Google Images, que j’ai découvert que le véritable terme technique était « bac gerbable » alors que je ne connaissais pas ce mot auparavant. Ce terme est surtout utilisé par les vendeurs professionnels.
Et là, soit c’est à pleurer de rire ou de tristesse ! En effet, si votre orthographe est irréprochable, « sachait ke se n’ai pas le ka de tous le monde » (attention ça pique les yeux !)
Un bon exemple est le terme sellette qui est un petit meuble composé d’une tablette montée sur pieds hauts sur lequel on pose une plante ou un objet. Si vous cherchez à acheter une sellette sur Le Bon Coin, accrochez-vous, l’imagination des vendeurs est sans limite !
On trouve ainsi des : selettes, celettes, scelettes. Vu aussi une « celette ancien en chaine » ou une « celette / bout de canapé, style Effel » !
Anticiper les fautes sur les noms communs (caneva, canneva, cannevas au lieu de canevas, déserte de cuisine au lieu de desserte de cuisine), sur les noms propres (le style Effel au lieu du style Eiffel, voir ci-dessus) et aussi sur les noms de marques (les lunettes reban à 25 euros trouveront-elles preneur ?).
Le risque, si vous acceptez la mission, est de perdre votre bon français !
Saisir des références techniques est un bon moyen d’éviter le bruit (trop de résultats).
L’astuce se prête bien à une certaine catégorie d’objets comme les références techniques de pneus pour une voiture. Les références « 205 55 17 » correspondent aux pneus d’une voiture de marque Renault et d’un modèle de cette marque en particulier. Si l’on saisit cette référence technique en recherchant dans le titre avec la catégorie Véhicule / Equipement Auto, on cible bien la recherche.
De même, le meuble dénommé RASKOG est une référence du magasin IKEA, qui vous conduira immédiatement vers des annonces portant sur ce produit vendu d’occasion sur Le Bon Coin.
Il est un peu caché et peu consulté à mon avis et pourtant il vous apprend des choses très utiles.
Le site n’est pas sensible à la casse (lettres majuscules ou minuscules), ni aux accents.
Les opérateurs booléens OU et SAUF existent mais il faut les saisir en anglais, ce qui donne OR et NOT.
Attention OR (frigo OR réfrigérateur OR frigidaire) élargit la recherche aux synonymes, tandis que NOT réduit la recherche en excluant des mots (« caisse plastique » NOT « caisse à jouets » NOT « caisse à outils »).
L’expression exacte est entre guillemets » » comme dans tous les moteurs de recherche.
Et sans doute l’astuce la plus utile, notamment pour les orthographes fantaisistes et la gestion des singuliers/pluriels, la troncature * est possible à gauche et à droite.
Exemples : chaise* pour chaises ou chaise-longue
*canevas* si vous voulez aussi trouver les cannevas, canneva, caneva.
L’aide à la recherche sur Le Bon Coin : https://www2.leboncoin.fr/tips.htm?ca=12_s
J’espère que cet article vous sera utile dans vos recherches et dans vos achats !
Essayez quelques-unes de ces astuces et vous verrez que les résultats ne sont pas les mêmes si l’on joue ou pas avec les synonymes, les fautes, les catégories, le titre.
Les quelques exemples ci-dessous sont simplement illustratifs de l’article. A vous d’appliquer les astuces à vos propres recherches.
Grâce au Bon Coin, tu inventes des mots, tu révises ton orthographe, tu élargis ton vocabulaire, tu apprends des termes techniques, tu joues à la documentaliste et tu fais des bonnes affaires, c’est merveilleux non ?!
Si vous avez d’autres astuces, n’hésitez pas à m’en faire part par message ou via les commentaires.
Article : rédigé avec l’aide de FG qui n’est pas documentaliste de métier mais qui est un excellent chercheur du Bon Coin avec des réflexes de documentaliste !
Crédit photos Le Bon Coin et quelques vendeurs anonymes à l’insu de leur plein gré pour les besoins de l’illustration de l’article.
Tout le monde sait que les avocats et les juristes sont des grands papivores !
En quoi RecycLivre peut-il vous aider à gérer votre trop plein de livres juridiques ou autres ?
Ci-dessous un retour d’expérience.
Je remercie Katell Piboubès et Marie-Dominique Desmarchelier pour leurs commentaires sur cette entreprise éco-citoyenne et responsable.
Présentation
RecycLivre.com est un site internet de vente de livres d’occasion original qui crée un lien solidaire entre ses clients et les populations défavorisées. Le destin d’un livre dont on souhaite se séparer n’est ni la cave, ni la poubelle jaune, ni la déchetterie.
RecycLivre offre aux particuliers, aux entreprises et aux collectivités un service gratuit de récupération de livres d’occasion, et leur donne une deuxième vie en les proposant à la vente sur internet.
Les conditions
RecycLivre reprend les ouvrages juridiques de moins de 5 ans.
RecycLivre ne reprend pas : les encyclopédies, dictionnaires, livres scolaires, guides touristiques, dont le contenu serait obsolète, les revues et journaux.
Pour les autres livres, tous les versements sont acceptés du moment que l’ouvrage est en bon état.
Ainsi, vous pouvez inciter l’ensemble des personnels du cabinet à apporter leurs ouvrages personnels qu’ils souhaitent donner. Les personnes sont heureuses de profiter de l’opportunité pour donner les livres de leurs enfants, ou romans qu’ils n’ont pas envie de garder.
http://www.recyclivre.com/donner-ses-livres.php
La préparation des ouvrages
Les ouvrages sont regroupés en cartons de déménagement ou petits cartons de ramettes de papier.
Bien remplir les cartons afin qu’ils ne s’écroulent pas s’ils sont mis en pile.
Préciser le nombre et la taille des cartons à RecycLivre afin que la taille du camion soit adaptée. A noter, sur Paris, les véhicules sont électriques.
RecycLivre récupère directement les ouvrages dans votre bibliothèque (préciser si ascenseur ou pas).
Le rapport de collecte
Chaque livre donné est équipé d’un code barre qui le suivra de son stockage à l’entrepôt jusqu’à sa revente.
RecycLivre envoie périodiquement un rapport de collecte qui indique le nombre de livres intégrés (récupérés chez le client), le nombre de livres revendus par la plateforme et les sommes collectées.
Ainsi revendre 327 livres, c’est sauver 2,5 arbres et économiser 99 735 litres d’eau !
De même 10% des revenus nets des ventes sont reversés à des associations caritatives. Soit l’entreprise donatrice choisit une association, soit RecycLivre verse un pourcentage des ventes à l’association Lire et faire lire.
http://www.recyclivre.com/nos-engagements.php
Ce rapport de collecte permet de valoriser l’opération auprès des membres du cabinet.
Dans quel cas ?
RecycLivre peut être contacté dans le cadre d’un déménagement comme dans le cadre d’une opération pérenne et récurrente (par exemple un passage par an).
Une bonne idée qui m’a été communiquée par Marie-Dominique Desmarchelier : dans les locaux photocopieurs, prévoir un carton vide de ramettes de papier pour les dons d’ouvrages.
Crédit photos : RecycLivre
RECYCLIVRE PARIS
7 rue de la Boule rouge
75009 Paris
Tél : +33 1 83 62 12 21
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