Articles

Maxime MAEGHT

Interview de Maxime Maeght, auteur du guide du networking

Maxime MAEGHTPrécédemment journaliste puis fiscaliste chez un notaire, Maxime Maeght est responsable du développement du cabinet d’avocats Alerion.  Il a rédigé un livre dédié aux professions du conseil, « Le Guide du networking pour développer votre clientèle », publié aux Editions Eyrolles. Retour sur son utilité pour les avocats.

 

 

Comment vous est venue l’idée d’écrire ce guide du networking ?

Mes premières expériences journalistiques m’ont d’abord donné l’occasion de côtoyer des professionnels d’horizons très divers et disposant souvent d’un réseau très étoffé : cela m’a permis de prendre très rapidement conscience de l’importance du réseautage. Mon passage dans le conseil, d’abord au sein d’un office notarial, puis dans un cabinet d’avocats a conforté cette impression. J’ai donc tenté de synthétiser les meilleures pratiques et de mettre les pièges en perspective pour présenter une méthode de réseautage aussi réaliste et efficace que possible pour le monde du conseil spécifiquement.

Pourquoi une cible si large ?

Je ne pense pas que cette cible soit large. Le networking revêt principalement deux finalités : satisfaire une exigence en termes de ressources humaines (recruter ou évoluer dans sa carrière) ou développer son chiffre d’affaires. Ce livre envisage uniquement ce dernier aspect. Surtout, les techniques de réseautage commerciales différent en fonction des secteurs d’activité. Au sein même du secteur tertiaire par exemple, on ne réseaute pas de la même façon selon que l’on vend des services aux collectivités ou du conseil. C’est pourquoi il semblait nécessaire de circonscrire le propos au networking commercial pour les professionnels du conseil uniquement. La cible me semble donc au contraire assez restreinte.

Pour les avocats, l’ouvrage tient-il bien compte des règles déontologiques propres à la profession et du décret relatif à la sollicitation personnalisée (29/10/2014) ?

Le réseautage a toujours été utilisé par les avocats pour développer leur clientèle. Ce guide détaille simplement les techniques permettant à chacun de réseauter en bénéficiant d’un retour sur investissement commercial : bénéficier de recommandations, se rendre utile à un client cherchant un poste, réseauter avec ses confrères, etc. A charge pour eux de les utiliser dans le respect de leur déontologie, en termes de secret professionnel et de prévention du conflit d’intérêt notamment.

S’agissant de la sollicitation personnalisée (ou démarchage), la réponse est très simple : il n’en est pas question dans le livre qui se cantonne au réseautage. Ce dernier permet en effet d’être contacté par un client sans avoir à le solliciter directement.

Le démarchage étant d’actualité pour les avocats, j’ai cependant souhaité le comparer très sommairement au réseautage et interroger d’autres professionnels du conseil (banquiers d’affaires, consultants, etc.) sur ces questions. A ce titre, il est intéressant de constater qu’un grand nombre de ces professionnels ayant depuis toujours la possibilité de démarcher privilégient le réseautage, tant pour asseoir leur notoriété que pour développer leur chiffre d’affaires. Ceux-ci ne recourent ponctuellement au démarchage que dans certaines situations particulières (lancement de nouvelles activités, prospection sur de nouveaux territoires, etc.). En outre, les deux techniques peuvent être mixées en réseautant avec des personnes connues au gré d’une action de démarchage par exemple.

J’imagine que vous vous appuyez sur votre propre expérience. Avez-vous découvert des outils, des astuces à l’occasion de la rédaction de l’ouvrage ?

Mon expérience personnelle a été un bon point de départ pour rédiger ce livre. En termes de développement du chiffre d’affaires, les meilleurs réseauteurs ne sont pas forcément ceux qui écrivent des ouvrages sur ce sujet : ce sont plutôt ceux qui ont du succès sur le terrain. C’est pourquoi il était primordial de les rencontrer pour donner une valeur ajoutée au projet. J’ai donc profité de ce dernier pour échanger avec d’autres professionnels de différents âges et de différents métiers. Ce livre détaille en effet les différentes pratiques des différentes professions du conseil complémentaires à celles de l’avocat : conseils en fusions & acquisitions, notaires, experts-comptables, conseils en stratégie, chasseur de têtes, etc. Aussi lui permettra-t-il de comparer ses méthodes avec celles d’autres professionnels. Un avocat détaché en entreprise pourra par exemple s’intéresser à la manière dont réseautent les consultants qui passent une grande partie de leur temps dans les locaux de leurs clients par exemple.

Le lecteur de l’ouvrage pourra-t-il facilement mesurer un retour sur investissement (avant/après la lecture) ?

Je l’espère ! Une partie du livre est d’ailleurs consacrée directement à la mesure de son potentiel et de sa progression. Cette dernière ne doit pas uniquement s’envisager en termes de chiffre d’affaires encaissé, faute de quoi le retour sur investissement semblerait bien décourageant au début…

D’autres critères intermédiaires peuvent être pris en compte : nombre de fois où l’on a été recommandé, nombre de fois où on a pu se rendre utile à un dirigeant, progression dans la précision des mises en relation, etc. Le livre donne d’ailleurs quelques conseils pour lutter contre les phases de découragement survenant lors des efforts de réseautage.

Quelles sont les clés du succès d’un bon réseauteur ?

 Il existe de multiples manières de réseauter pour développer son chiffre d’affaires : tout dépend de son tempérament. Toutefois, quelle que soit la méthode choisie, deux éléments doivent être gardés à l’esprit.

Il convient d’abord de bannir tout raisonnement à court terme : les actions de réseautage donnent leurs fruits au bout d’un certain temps, très souvent au moment où on ne s’y attend pas. Aussi faut-il s’armer de patience. Il importe ensuite de réseauter prudemment. S’il faut doser ses efforts pour ne pas perdre trop de temps soi-même, il est primordial de ne pas en faire perdre à ses contacts. C’est pourquoi les prescriptions doivent être qualifiées et utiles pour les personnes mises en relation, faute de quoi il en résulte une perte de crédibilité au fil du temps.

Il semble par ailleurs nécessaire de préciser que tout le monde dispose d’un réseau. La première chose à faire est de l’auditer pour s’en convaincre. Qu’ils s’agissent d’anciens camarades d’université, d’anciens collègues ou de personnes croisées dans le privé, la plupart des gens ne soupçonnent même pas l’étendue de leur réseau. Tout le monde peut s’y mettre.

Merci Maxime !
Relire ma chronique sur le Guide du networking.

MMaeght Guide Networking

Olivier Fruchart, image Lextenso

Le métier de documentaliste juridique présenté dans une vidéo de 5 minutes

La semaine dernière, j’ai découvert la partie étudiants du site Lextenso et tout particulièrement la vidéo de présentation du métier de documentaliste juridique par Olivier Fruchart.

Le métier de documentaliste juridique en 5 minutes
Interview d’Olivier Fruchart, documentaliste juridique chez Reed Smith

https://youtu.be/FjL5j5uRnsk

Cette vidéo s’inscrit dans une collection de différentes vidéos qui présentent les métiers du droit aux étudiants.
Le plan de chaque vidéo est le même :

  • Le métier
  • La journée type
  • Métier d’avenir ? Débouchés ?
  • Qualités requises
  • Un métier passionnant…
  • Conseils aux étudiants

J’ai demandé à Olivier rapidement comment s’était passé le tournage.

Lextenso m’avait contacté dans le cadre de la mise en ligne d’un site internet dédié aux différents métiers liés à un diplôme de droit. J’ai tout de suite adhéré au projet. A l’époque, à la fac de droit, j’aurais bien aimé avoir ce genre de site internet !

Je me suis déplacé dans les locaux de Lextenso pour enregistrer l’interview. L’idée d’une interview filmée m’avait un peu refroidi au début. C’est un exercice ! Mais l’équipe a été très accueillante et m’a tout de suite mis en confiance.

L’enregistrement a duré une vingtaine de minutes. J’en ai profité pour rencontrer les différents responsables commerciaux pour évoquer le futur de Lextenso et eux de pouvoir recueillir mon avis sur l’actuelle base. Ce fut très enrichissant pour nous tous.

Concernant les retours, notre future stagiaire a postulé chez nous après avoir vu la vidéo. Je ne sais pas si j’ai pu déclencher des vocations, mais grâce à cette interview, je vais avoir une stagiaire compétente qui veut devenir documentaliste juridique.

Les avocats de mon cabinet ont vu l’interview et certains ont découverts que nous faisions autre chose que de simples recherches !

J’ai visionné plusieurs vidéos et j’en ai retenu deux autres pour ce billet, l’interview d’un CIL car c’est un domaine qui m’intéresse.

Découvrir le métier de correspondant informatique et libertés en 4 minutes
Interview de Raymond Duval, correspondant informatique et libertés au CNRS

https://www.youtube.com/watch?v=Qu4zgPumDAM

Et le métier de généalogiste successoral, le métier dont je peux dire : « si je n’avais pas été documentaliste juridique, j’aurais été généalogiste successoral ! »

Le métier de généalogiste successoral en 5 minutes
Interview de Guillaume Roehrig, généalogiste successoral et PDG de la société Coutot-Roehrig

https://www.youtube.com/watch?v=j26Bx2FVbcg

D’autres portraits sont disponibles sur le site Lextenso-étudiant :

http://etudiant.lextenso.fr/les-metiers-du-droit

Interview blogueur infodoc par Adeline Lory pour Pole Doc

Je remercie Adeline Lory pour l’interview qu’elle m’a consacrée sur le site Pole Documentation.
Cette interview concerne le fait d’être à la fois documentaliste et blogueuse.

poledocumentationinterview
Lire l’interviewInterview pour Pole Documentation

Sujet : blog, documentaliste, publication, partage, lecteurs, conseils, retour d’expérience, inspiration, sérendipité

Pascal Mendak

Editeur juridique : un homme ou une femme orchestre, interview de Pascal Mendak

Pascal Mendak a accepté de répondre à plusieurs questions concernant le métier d’éditeur juridique.

Cette interview, commencée par quelques idées notées sur un petit papier s’est transformée en un article de 7 pages que j’ai préféré vous proposer en version PDF afin de ne pas vous imposer une lecture à l’écran trop fastidieuse.

Dans cette interview, Pascal Mendak commente les différentes étapes de la publication d’une revue ou d’un ouvrage.

Pascal Mendak

Diplômé de l’Université Paris II Panthéon-Assas, et titulaire d’un DESS de droit immobilier et de la construction, Pascal Mendak fut successivement Juriste-journaliste spécialisé en droit immobilier au sein du groupe de Particulier à Particulier, rédacteur et responsable de collection en droit immobilier, et dernièrement directeur de département éditorial Droit civil et droits spécialisés au sein des Éditions Lamy-Wolters Kluwer, membre du groupe de travail Données publiques du GFII.

 

Points abordés :

LES ACTEURS

Quelles sont les missions d’un éditeur juridique ?
Quelle formation suivre pour devenir éditeur juridique ?
Quelles qualités ou aptitudes faut-il posséder pour être éditeur juridique ?
Comment le comité éditorial est-il constitué ?
D’où viennent les auteurs ?
Combien de personnes travaillent sur une revue ? Un auteur interne travaille-t-il sur plusieurs revues ?

LE CONTENU ET LE PROCESS DE FABRICATION

Comment viennent les idées d’articles ?
Comment s’élabore une revue ?
Peut-on demander à un auteur de revoir sa copie ?
Comment le comité éditorial échange-t-il sur la revue en cours ?
Y a-t-il concertation dans un même groupe sur le contenu des différentes revues du groupe ?
Y a-t-il concertation avec des éditeurs concurrents ?
Pour une revue juridique mensuelle, exemple Droit & Patrimoine, quels sont les délais pour terminer une revue ?
Quand intervient le bouclage ?
Comment se passe un bouclage ?

NOUVELLES MAQUETTES
Comment se passe un changement de maquette ?
Qui choisit ?

NUMERIQUE / PAPIER
Y-a-t-il une différence de contenu entre l’édition papier et le numérique ?
Les revues papier sont-elles amenées à disparaître au profit du numérique ?

PROSPECTIF
Quid de l’avenir de l’édition juridique ?
Quid de l’avenir de l’éditeur juridique ?
Y-a-t-il encore de la place sur le marché de l’édition juridique pour de nouvelles revues ?
Que pensez-vous des nombreux projets lancés par des start-up du droit ?
Et des projets avec des cabinets d’avocats ou les études de notaires ?
Et les universités ?

Télécharger l’Interview Pascal Mendak par Carole Guelfucci (version PDF)

Merci @pascalmendak pour sa vision experte du métier.

Librairie LGDJ

Visite librairie LGDJ hors les murs

Librairie LGDJLe 3 février 2015, le secteur Documentation juridique de l’ADBS organisait une visite de la librairie LGDJ. A cette occasion, le groupe a été accueilli par Monsieur Frédéric Etchart, Directeur Marketing & Développement et Responsable de la libraire LGDJ et Monsieur Vincent Decarpentrie, libraire. Ils nous ont présenté librairie LGDJ et ses spécificités, le nouveau site internet et ses fonctionnalités et l’évolution du métier de libraire juridique.

Les locaux de la librairie rue Soufflot n’étant pas destinés à recevoir un groupe de plusieurs personnes, il a été convenu que la réunion aurait lieu «hors les murs», au siège du groupe Lextenso Editions à Issy les Moulineaux.

Afin de ne pas alourdir, la page le compte-rendu de la visite peut être téléchargé ci-dessous.

Plan du compte-rendu

Présentation de la librairie LGDJ et typologie de ses clients
Le circuit du livre
Le nouveau site internet de la librairie et ses fonctionnalités : http://www.lgdj.fr/

Site internet LGDJ
Les salons professionnels
Quid du livre numérique ?
Amazon est-il un danger pour le libraire juridique ?
Vision prospective de l’évolution du métier de libraire juridique
Conclusion

Compte-rendu par Carole Guelfucci (Darrois Villey Maillot Brochier) et Katell Piboubès (STCPartners).
Compte-rendu de la visite de la librairie LGDJ  (document PDF de 7 pages).

MOOC Wordle created by Macie Hall

De la doc aux moocs, interview de Nelly Violette

MOOC Wordle created by Macie Hall

Image Source: MOOC Wordle created by Macie Hall

Quel poste occupes-tu actuellement ?

Je suis chef de projet MOOC (Cours en ligne massifs et ouverts) à l’ENS Cachan

Quelle est ta formation d’origine ?

J’ai une formation littéraire. Après une hypokhâgne, j’ai enchaîné avec des études de langues (anglais, espagnol, français langue étrangère) puis un DESS de traductrice documentaliste scientifique et technique.

Comment es-tu passée de la documentation juridique aux MOOCs ?

J’ai profité d’un licenciement pour faire évoluer ma carrière et m’orienter vers la gestion de projet. Grâce à une collègue, j’ai découvert le MOOC Gestion De Projet de Rémi Bachelet de l’Ecole Centrale Lille, un des tous premiers MOOC en France pour lequel j’ai obtenu le certificat avancé authentifié. J’ai complété cette initiation en suivant juste après une formation intensive de Chef de projet multimédia. Peu avant la fin de ma formation, une annonce sur le blog de Matthieu Cisel, co-créateur du MOOC Gestion de Projet a attiré mon attention car le profil recherché devait combiner des connaissances sur les MOOCs, la gestion de projet et le domaine de la formation. Ayant été également enseignante aux Etats-Unis puis formatrice bénévole pendant une dizaine d’années dans une association et ayant suivi des cours à distance et en présentiel dans le cadre de cours du soir, je répondais à tous les critères et la balance a penché en ma faveur.

Quelles sont les points communs entre les deux fonctions ?

En premier, je dirais l’autonomie et la gestion des priorités. Le chef de projet est un chef d’orchestre qui doit gérer le planning, parer au plus pressé et concilier tous les impératifs humains et matériels. Le documentaliste doit aussi savoir gérer les recherches et les travaux qui lui sont demandés, concilier les demandes des uns et des autres dans un laps de temps limité.

Il faut également être débrouillard et savoir trouver des solutions à un problème inattendu. Le documentaliste peut avoir à pallier la défaillance d’un serveur, la fermeture d’un service et devoir tout de même trouver la réponse à la question qu’on lui a posée. Le chef de projet doit trouver une solution de repli si du matériel ou des ressources prévues ne sont plus disponibles.

Savoir bien rédiger est également  un point commun aux deux professions. Le chef de projet MOOC est garant de la qualité du contenu d’un point de vue lexical et syntaxique. Son français doit être impeccable tout comme pour le documentaliste qui est amené à rédiger des résumés ou des synthèses.

Enfin, la gestion de projet existe dans de nombreux métiers et un documentaliste qui doit mettre en place un système d’informatique documentaire ou un système d’archivage numérique ou encore de records management utilisent les méthodes de la gestion de projet même si c’est à une petite échelle.

Chef de projet par Merci Alfred

Les métiers déchiffrés par Merci Alfred

(Rapidement) comment fonctionne un MOOC ?

Un MOOC c’est un cours mis en ligne sur une plateforme numérique. En France, nous avons France Université Numérique (FUN) https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/ créée par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Cette plateforme repose sur un LMS (Learning Management System) qui est un CMS spécialisé pour la formation en ligne. Celle utilisée par FUN est Open EdX.

Pour créer un cours, il y a 3 types d’intervenants : une équipe pédagogique qui crée les contenus,  une équipe support (service audiovisuel, chef de projet) et une équipe technique pour la maintenance de la plateforme.

La spécificité des MOOCs est qu’au-delà des cours sous forme de vidéos (courtes en général) et d’exercices d’autoévaluation, une interaction est générée et encouragée entre les participants. Certains MOOCs incluent un projet à faire à plusieurs dans leur parcours et des équipes d’apprenants se forment via le forum de l’interface ou des outils externes de mise en réseaux. L’animation de cette communauté fait souvent partie de la fonction du chef de projet

Voir aussi : http://www.france-universite-numerique.fr/IMG/pdf/a_la_decouverte_des_mooc-2.pdf

Quels MOOCSs conseillerais-tu à des documentalistes qui souhaitent élargir leurs compétences ?

De nouveaux MOOCs sont publiés tous les mois, il est donc difficile de conseiller des MOOCs en particulier. En revanche, il y a des domaines qui vont être plus intéressants pour les documentalistes, comme l’informatique et la sécurité de l’information. De nombreux MOOCs existent sur cette thématique sur FUN et sur Openclassrooms http://openclassrooms.com/ . Il y a également des MOOC thématiques (droit, histoire etc.) qui peuvent être utiles.

Pour ceux qui s’intéressent au droit, il y a les MOOCs de l’université Panthéon-Assas qui sont achevés mais qui sont archivés sur http://openeducationeuropa.eu/, le MOOC Droit des entreprises de Bruno Dondero (https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/Paris1/16001S02/Trimestre_1_2015/about) et les MOOCs de Sciences-Po.

En archivage, Marie-Anne Chabin, spécialiste de l’archivage numérique vient d’ouvrir un MOOC « Bien archiver : la réponse au désordre numérique » https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/Paris10/10003/Trimestre_1_2015/about

http://www.marieannechabin.fr/2014/12/un-mooc-qui-bouscule/

Enfin, il existe des annuaires de MOOCs comme https://www.mooc-list.com/ ou http://mooc-francophone.com/liste-mooc-en-francais/

La participation à un MOOC peut-elle booster une candidature à un poste ?

Oui et j’en suis un bon exemple car la connaissance des MOOCs était un pré-requis pour le jury de recrutement et le fait que j’aie suivi la version avancée du MOOC gestion de projet  a montré ma capacité d’implication et d’autonomie.

Je pense par ailleurs que c’est un excellent outil pour démontrer à un employeur son intérêt pour un domaine et son aptitude à gérer son temps et s’auto-former.

Voir aussi : Les entreprises commencent à utiliser les Mooc pour recruter par Elodie Buzaud sur Cadremploi.fr, 1er octobre 2014

http://www.cadremploi.fr/editorial/actualites/actu-emploi/detail/article/les-entreprises-commencent-a-utiliser-les-mooc-pour-recruter.html

Nelly VIOLETTE, Chef de projet MOOC à l’ENS Cachan.

http://www.linkedin.com/in/nellyviolette

 

BG et Raymonde

Interview Bibliopathe, un peu de légèreté dans la bibliothéconomie !

BG et Raymonde

BG et douchette Raymonde

En mars 2011 j’ai eu un coup de cœur pour Bibliopathe.

Ce coup de cœur est tombé à un moment où je me posais des questions sur vie privée/vie publique dans les blogs et plutôt que de solliciter un rdv avec Mirelle Dumas (Vie privée/Vie publique, vous me suivez ?), j’ai pensé faire une interview de l’auteur du blog et ainsi contenter ma curiosité.

Je ne doute pas une seconde que vous souhaitiez vous aussi en savoir plus sur le quotidien d’une bloggeuse bibliothécaire qui dessine…

Voir l’interview (fichier pdf) : Interview Bibliopathe

Logo Carrieres Juridiques

Interview sur Carrrières Juridiques sur la profession de documentaliste juridique

Logo Carrieres Juridiques

Logo Carrieres Juridiques

En avril 2014, j’ai été interviewée par Capucine Coquand pour le site Carrières Juridiques au sujet du métier de documentaliste juridique, les missions et évolutions possibles du métier ainsi que l’image véhiculée par la profession.

Consulter l’interview : http://www.carrieres-juridiques.com/actualites-et-conseils-emploi-juridique/rencontre-avec-carole-guelfucci-documentaliste-juridique/474

 

Guide Archimag Janvier 2007

Interview dans le Guide Pratique d’Archimag « Manager et développer son service infodoc »

Guide Archimag Janvier 2007

Ce guide de décompose en 5 grandes parties : état de l’art, stratégie, mise en oeuvre, solutions, déploiement. L’interview se trouve dans la dernière partie déploiement.

J’ai trouvé plusieurs articles très utiles dans ce guide, notamment l’article sur le marketing des produits documentaires avec ses exemples concrets et l’article sur les tableaux de bord qui donne des idées qui peuvent s’avérer très utiles si l’on est dans le cadre d’un processus de certification Iso 9001 mais pas seulement. Je vous le recommande.

 

 

 

 

Article initialement mis en ligne en février 2007. Interview réalisée par Michel Remize.

Consulter le texte intégral de l’interview (format PDF) : Interview Archimag


Publicité de l’éditeur : Archimag

Ce guide, co-écrit par les meilleurs spécialistes du moment, a pour ambition de faire le point sur ce que sont les fonctions de l’infodoc aujourd’hui et sur ce vers quoi elles doivent tendre pour faire face aux évolutions de vos métiers.

Cette première édition vous fournira les clés de votre avenir professionnel en vous fournissant les réponses aux questions que vous vous posez pour faire face à ces changements et en vous procurant une batterie d’arguments et d’outils pour développer votre service :

– comment faire évoluer vos fonctions et vous repositionner ?
– quels arguments-clés présenter à votre direction pour la convaincre de l’utilité de votre nouvelle politique documentaire ?
– comment réaliser un cahier des charges pour une informatisation ou une ré-informatisation de votre service ?
– quels sont les enjeux du marketing documentaire et comment le mettre en oeuvre ?
– quels sont les produits et services documentaires les plus performants ?
– …

Savoir montrer et démontrer qu’un service d’information-documentation apporte une réelle valeur ajoutée à l’entreprise devient un défi d’importance ; défi que vous aidera à relever ce guide.

Des témoignages de professionnels de l’infodoc.
Des retours d’expérience dans le domaine privé et le public.
Des interviews d’experts reconnus, comme Jean Michel, Christian Lupovici, Catherine Dhérent et Didier Frochot.
Les méthodologies de mise en oeuvre: conduite de projet, cahier des charges, tableaux de bord, marketing documentaire…