Florent Chavouet dédicace au salon du livre (2010)

Rencontre avec Florent Chavouet

Tokyo Sampo

Lorsque l’on s’intéresse au Japon et au carnets de voyages, le mélange des deux donne Tokyo Sanpo (vive les nouveaux catalogues et leur intelligence artificielle !).

Tokyo Sanpo n’est pas tout à fait un carnet de voyage au sens classique du terme, ni un guide de voyage (quoiqu’il est illustré de nombreux plans), ni une bande dessinée (quoique l’on y retrouve certains personnages récurrents comme le double de l’auteur). Ce style un peu difficile à définir tient peut-être à la précisions des dessins aux crayons de couleur, un style moins habituel que l’aquarelle. Il y a chez Florent Chavouet un urbaniste-architecte qui s’ignore…et surtout beaucoup d’humour. Les dessins sont légendés avec un humour à froid précis que j’imagine bien correspondre à l’humour des japonais. Le livre a rencontré un grand succès d’où la préparation d’un autre volume qui devrait sortir en 2010.

En attendant, comme un bon livre a toujours un goût de trop peu, il est possible de suivre les dessins et les amusantes obsessions de Florent sur son blog (attention blog addictif !).

Tous les jours ou presque, il y dessine un sushi ou un maki aux traits anthropomorphiques avec une petite légende savoureuse et fraîche comme les aliments qu’il caricature.
Petite note pour Florent si un jour il me lit : j’aimerais tellement un « maquis corse » pour illustrer ce site !
Manabe ShimaOctobre 2010 : sortie du nouveau livre de Florent Chavouet, Manabé Shima.
Le deuxième carnet de voyage illustré de Florent Chavouet est sorti en librairie aux éditions Philippe Picquier le 7 octobre 2010.

 

 

 

 

 

 

 

A peine ma demande postée, j’ai eu l’agréable surprise de voir que Florent m’a écoutée.
Voici donc le « maki corse ». Sur le blog de Florent (http://florentchavouet.blogspot.com/), c’est le numéro 148 du 18 février 2010.

maki-corse

Maki Corse par Florent Chavouet

Florent Chavouet dédicace au salon du livre (2010)

Dédicace de Florent Chavouet au salon du livre

La suite de ma rencontre amicale avec Florent, s’est tenue au Salon du livre de Paris (mars 2010), où j’ai eu la chance de rencontrer l’auteur et d’obtenir une précieuse dédicace. J’ai demandé à Florent de me représenter en kimono et c’est tellement moi, lunettes incluses, que j’ai l’impression d’avoir été geisha dans une autre vie…Le prochain défit, sera donc de trouver dans le commerce un kimono proche de celui dessiné par Florent !
Il est talentueux, il est sympa, il a de l’humour, franchement J’ADORRRRRE !

Bibliographie d’ouvrages sur la technique du carnet de voyage

Cécile Filliete : Carnets de voyages à créer soi-même Cécile FILLIETTE : Carnets de voyages à créer soi-même. – Dessain et Tolra, 2005. – 96 p.

Aborde tous les aspects de la création d’un carnet de voyage : choisir son matériel, dessiner, construire la page, jouer avec la couleur et la matière, récolter-détourner-coller, écrire-raconter. A mon sens, le livre indispensable sur l’on s’intéresse à ce sujet.
Voir son blog : http://www.atelier-metaforme.com/
Mathias Gally : le carnet de voyage, croquis, notes, reportagesMathias GALLY : le carnet de voyage, croquis, notes, reportages. – Les Cahiers de l’image narrative, n° 2. L’iconograf éditions, 2004

Il s’agit du numéro 2 d’une collection mise au point par une école de BD sur internet (http://www.liconograf.com/). Cette collection compte d’ailleurs plusieurs titres qui me semblent également utiles pour mieux maîtriser la technique du dessin comme « Le rough ou dessin d’idées » ou « le personnage ».
Le numéro consacré au carnet de voyage propose, dans un format magazine très pratique à consulter, de nombreux conseils et astuces techniques variées. L’ouvrage a la particularité de proposer des exercices et leurs corrigés. Autre particularité qui m’a beaucoup frappée et intéressée, il s’agit d’une publication dirigée par un homme qui a fait appel à des collègues majoritairement masculins pour illustrer ses propos. Où est le problème me direz-vous ? Il n’y en a pas justement, mais on sent un « je ne sais quoi » de plus viril, plus réaliste, dans les exemples choisis. Quand on a l’habitude de côtoyer des carnettistes femmes, il est bon de s’intéresser à une autre approche du carnet.

 

Anne Le Maître : les bonheurs de l'aquarelle, petite invitation à la peinture vagabondeAnne Le Maître : les bonheurs de l’aquarelle, petite invitation à la peinture vagabonde, Transboréal, 2009

La collection « Petite philosophie du voyage » invite Anne Le Maître, professeur d’histoire-géographie et auteur de carnets de voyage, à exposer de quelle façon l’aquarelle apprend à regarder le monde autrement, tout en nuances, et, en le restituant de manière sensible, permet de connaître à nouveau pleinement le bonheur et l’exultation de sa découverte.
Bien que datant de 2009, ce livre est une découverte du salon du livre 2012. J’ai été dans un premier temps attirée par le stand de l’éditeur, puis le graphisme de la collection dans son ensemble (taille de l’ouvrage facile à transporter, papier cartonné texturé, illustration des couvertures), puis par plusieurs titres en particulier dont celui-ci.
Quelle découverte : une petite merveille de texte à lire absolument ! Le style littéraire des carnets ne se prête pas à la publication d’un petit essai sur cet art (sauf peut-être à faire une préface ?). Ce texte est juste, poétique, philosophique. Il donne à penser. J’ai corné toutes les pages avant de me décider pour un petit extrait qui définit la relation entre l’auteur du carnet et son lecteur (page 84) :
« Et voici qu’un nouveau personnage entre en scène. Le lecteur. Spectateur à son tour, empruntant les lunettes d’un autre, contemplateur de la contemplation d’autrui, ce voyageur au carré, tout immobile qu’il est,, maraude dans le vergers du voleur de pommes. Qui est-il ? Qu’en sera-t-il de cette nouvelle histoire engagée entre l’auteur et lui (avec le voyage comme prétexte), entre le paysage et lui (avec l’auteur comme entremetteur) ? S’il est vrai que le bonheur de la peinture est de permettre la rencontre, en voici bien une autre. C’est comme un jeu d’échos multiples. Le lecteur, c’est celui qui prend le temps de l’écoute, de la contemplation. C’est celui qui s’assied au bord de la page comme un autre s’est naguère posé au bord de la route. Qui s’oublie pour une heure et lui laisse la parole. »
Une merveille je vous dis !

 

Aude le Morzadec : carnet de voyage et carnet de promenadeAude le MORZADEC : Carnet de voyage et carnet de promenade. Les deux chez Hachette Pratique, 2005 et 2006

Deux livres à spirales qui se décomposent en deux parties avec une première partie consacrée aux conseils et aux techniques pour réaliser un carnet de voyage ou de promenade et une deuxième partie en papier à dessin pour commencer directement son propre carnet dans l’ouvrage. L’idée est intéressante, reste l’angoisse de la page blanche et le côté bloquant d’écrire directement dans un carnet-livre. Une bonne idée de cadeau à offrir à quelqu’un qui partirait en voyage ou à conserver en attendant de se sentir suffisamment à l’aise pour prendre possession de l’objet.
Antonia Neyrins : Carnets de voyage mode d'emploiAntonia NEYRINS : Carnets de voyage mode d’emploi. – Sépia, 2006.

 
Le guide remède anti-page blanche. Il adopte un mini format voulu pour être emporté partout et pour pouvoir s’y référer à tous moments. Contient les meilleures astuces d’Antonia Neyrins et des extraits de ses carnets. J’ai eu la chance en avril 2008 de pouvoir assister à une manifestation organisée par la médiathèque de ma ville avec une exposition des planches originales d’Antonia Neyrins, une rencontre avec l’auteur, suivi d’un atelier de création. Antonia est une femme charmante et très abordable qui parle avec une grande sensibilité et beaucoup d’enthousiasme de cette passion pour les voyages et les carnets de voyage qu’elle a depuis l’âge de 8 ans. En plus d’un un auteur reconnu du milieu, elle intervient régulièrement dans des médiathèques, elle encadre des groupes pendant des voyages ayant pour but la réalisation d’un carnet de voyage et fait partie de l’association des carnettistes tribulants (voir ci-dessous). Elle a un projet de publication d’un carnet de voyages sur la France d’Outre-Mer, un de ses sujets de prédilection.
Voir son blog : http://antonia-neyrins.blogspot.fr/

 

Isy Ochoa : créer son carnet de voyageIsy OCHOA : créer son carnet de voyage – Minerva, 2005

Le matériel, le dessin, la couleur et les techniques, premiers pas, le cadrage, le texte, voyages, glossaire.
Loin d’être seulement un livre de techniques, c’est surtout un livre que l’on a plaisir a reprendre souvent car il est très richement illustré.

 

 

Les revues spécialisées :

La revue Bouts du monde, carnets de voyagageurs : http://www.revue-boutsdumonde.com/

 

Quelques sources internet :

Uniterre : le site incontournables des carnets de voyages numériques et papier

Le rendez-vous des carnets de voyage a lieu tous les ans à Clermont Ferrand : http://www.rendezvous-carnetdevoyage.com/page-il-faut-aller-voir

Le Festival des carnets Ici et ailleurs a lieu tous les ans à Brest : http://www.ici-ailleurs.net/

 

Les carnettistes tribulants :Association de carnettistes qui mettent leur travail en commun autour d’une même thématique.

Ils ont commencé par une couverture du Nouvel An chinois pour le site Uniterre. Depuis ils ont publié aux éditions Alternatives trois ouvrages Banlieue Nomade (2006) et Ce que j’aime en toi, carnet de voyage en intimité (2007) et Vivre vieux ! (2009)
Ces publications prouvent que l’on peut voyager à la porte de chez soi, voire même dans son lit. L’idée de regrouper sur un même sujet les interprétations forcément très différentes d’artistes carnettistes est une idée fabuleuse. Le côté hétéroclite du résultat peut cependant déranger car pour Banlieue Nomade, comme pour Ce que j’aime en toi, les partis-pris esthétiques sont très affirmés – c’est ce qui fait à la fois la force ou le point faible de la compilation, selon que l’on aime ou pas le mélange des genres.
Gratte-ciel et soupe de nouilles, 10 carnettistes voyagent en Chine.
Dernière publication : Paysannes, 19 portraits d’agricultrices par 14 auteurs aux sensibilités graphiques multiples, et enrichi de 13 fiches thématiques pour aller plus loin sur les sujets abordés au cours des rencontres (AMAP, agriculture biodynamique, semences, …).

Leur blog officiel : http://tribulants.canalblog.com/

Jacques Bonnet: Des Bibliothèques pleines de fantômes

Des Bibliothèques pleines de fantômes par Jacques Bonnet

Jacques Bonnet: Des Bibliothèques pleines de fantômes

 

Jacques Bonnet. – Des Bibliothèques pleines de fantômes. Paris : Arléa, 2014. – Collection Arléa Poche, n° 207. – 177 p.

Fantôme : Feuille, carton que l’on met à la place d’un livre sorti d’un rayon de bibliothèque, d’un document emprunté (Petit Larousse).

C’est autour de ce terme technique de bibliothéconomie que Jacques Bonnet a écrit un traité sur l’art de vivre avec trop de livres, en l’occurrence plus de 40.000 volumes.

Ce traité est riche en observations, anecdotes, citations et fantômes des personnages romanesques qui parfois prennent vie, au point parfois de dérouter le lecteur qui se retrouve confronté à une myriade d’auteurs cités souvent inconnus. Si l’on accepte cette coquetterie d’auteur érudit, c’est une drolatique plongée dans l’univers des bibliomanes.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’ouvrage n’est pas réservé à un public travaillant dans les métiers du livre. C’est un très bel hommage rendu au livre papier qui réjouira tous les lecteurs, du bibliomane amateur au bibliophile le plus acharné.
Ce traité fait réfléchir sur le rangement de sa propre bibliothèque et sur nos appétits de lecture. Il aide aussi à déculpabiliser de certaines de nos manies ou tout simplement à déculpabiliser d’avoir une pile à lire (PAL) toujours plus haute.
Les problèmes de classement et d’organisation étant au cœur de l’ouvrage de Jacques Bonnet, je m’étonne juste qu’il n’ait pas eu l’idée de faire appel à des professionnels (bibliothécaires ou documentalistes) pour l’aider dans l’informatisation de son incroyable fonds documentaire. Je suis sûre qu’il aurait fait un maître de stage passionnant pur une armée de stagiaires bibliothécaires bénévoles !
Non seulement je vous recommande ce livre, mais vous pouvez l’annoter à loisir, puisque l’auteur vous y incite.

Quelques citations (les citations font référence à l’édition mentionnée ci-dessus)

Un livre que l’auteur vous invite à annoter

J’écris dans mes livres, au crayon, mais aussi au feutre ou au stylo. Je ne peux d’ailleurs lire sans quelque chose à la main. Habitude sans doute prise à relire des épreuves, le livre est plus un instrument de travail qu’un objet à respecter. [] Ecrire dans un livre aide à ma lecture, mais aussi à sa mémorisation et à une éventuelle relecture (je garde visuellement pendant des mois le souvenir approximatif de l’endroit du livre où se trouve le passage qui m’a frappé.[]Loin de ma bibliothèque, il m’arrive souvent de me sentir handicapé, comme amputé d’une partie de moi-même. []Des années après, grâce aux annotations et aux passages soulignés à la première lecture, le contenu de l’ouvrage me revient en quelques instants (pp. 87-88).

Bibliomane ?

Il a suffi d’adjoindre à cette curiosité infinie un certain esprit de système poussant à lire tous les livres d’un écrivain, et aussi tous les ouvrages consacrés à un sujet et la littérature d’une certaine époque, ou d’un pays, et de vouloir, au fur et à mesure, conserver les livres lus, et d’y ajouter les nouveaux parus s’y rapportant, et avec le temps d’accumuler les sujets d’intérêt, pour devenir un lecteur-bibliomane (pp. 50-51).

Sur le voyage (et quelque part aussi sur les Carnets de voyage)

Ah ! le bonheur après une journée dans une ville enfin visitée, de feuilleter, en fin d’après-midi, dans sa chambre d’hôtel, livres, cartes postales et prospectus destinés à sa bibliothèque, et qui donnent le sentiment réconfortant d’emporter quelques éléments matériels de ce qui est déjà du passé ! L’impression de sauvegarder quelques morceaux de temps envolés, alors que le reste, émotions et sensations de voyage, restera souvenirs volatils (p. 146).

Sur l’avenir du livre papier

Les facilités de consultation à distance et de téléchargement qu’offre internet, la possibilité de trouver, par un groupement de bouquinistes en ligne, un ouvrage épuisé dans n’importe quel endroit du globe, ou celle de commander, toujours en ligne, un ouvrage disponible à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, ne sont-elles pas en train de régler la question ? Si l’on tient compte, aussi, d’une spécialisation de plus en plus grande des champs de recherche et d’intérêts, ne peut-on s’attendre à voir disparaître – ou tout au moins se raréfier – les grandes bibliothèques généralistes de travail ? Il ne restera les collections bibliophiliques et les bibliothèques consacrées à un sujet précis, mais on peut parier que les lourdes et encombrantes bibliothèques généralistes de plusieurs dizaines de milliers d’ouvrages sont vouées à disparaître avec leurs fantômes. J’écris donc ce petit livre depuis un continent destiné à être bientôt englouti (pp. 56-57).

Aurais-je constitué la même bibliothèque si j’avais été de la génération internet ? Sans doute pas. [] Internet et la télévision généralisée ont chassé l’ennui qui a toujours été l’aiguillon le plus sûr de la lecture, mais peut-on le regretter ? Ensuite, la facilité à se procurer les livres à distance – qu’ils soient neufs ou d’occasion -, la mise à disposition des textes fondamentaux, la consultation des textes numérisés dans lesquels il est, par exemple, tellement plus facile de retrouver un passage précis, transforment inéluctablement le statut de la bibliothèque qui n’est plus qu’un moyen parmi d’autres d’accéder au savoir. Et du livre qui n’est plus qu’un moyen parmi d’autres, et pas le plus accessible, de se « divertir ». Mais le livre d’art, par exemple, ne sera pas touché par le phénomène. Même s’il y a de plus en plus d’images sur internet, il n’y a pas toujours celles que l’on cherche, et l’écran n’est pas vraiment adapté à la consultation simultanée du texte et de ses illustrations (p. 154).

 

 

Franck Bohbot BSG

Une photographie de bibliothèque : à offrir ou à s’offrir

Fin 2012, peu de temps après l’ouverture du nouveau centre commercial So Ouest, je me rends dans la galerie marchande et y découvre, un peu par hasard un magasin de la chaîne Yellow Korner. Je tombe alors en arrêt devant une photographie grand format de Franck Bohbot représentant la Bibliothèque Sainte Geneviève, connue des étudiants en droit sous le nom de BSG.

Je suis dans un premier temps surprise de trouver une photographie de bibliothèque dans un magasin dont la logique commerciale semble plutôt de vendre des thèmes à la mode comme des photos de Paris, de New York ou de jeunes femmes alanguies. Cette bibliothèque me semble bien austère pour s’octroyer une telle place dans le magasin. Qui pourrait acheter un tel tableau en dehors d’un documentaliste juridique ou d’un étudiant en droit nostalgique de ses années d’études ? Ce thème a justement du sens pour moi. J’apprécie par ailleurs la parfaite symétrie de la composition, la place importante laissé à l’architecture de la salle de lecture et le chapiteau de colonne représentant un visage de femme qui ressemble beaucoup à un bijou que je porte tous les jours.
Comme un heureux hasard (ou encore un coup de la sérendipité !), je retrouve la photographie en grand format au pied du sapin de Noël.

Printemps 2014, en attendant le train à Saint Lazare, je patiente dans la galerie de la gare et découvre que Franck Bohbot a poursuivi son travail autour des bibliothèques en photographiant la Bibliothèque de la Mairie de Paris et la Bibliothèque Nationale salle Richelieu.

Fiche de Franck Bohbot sur YK : http://www.yellowkorner.com/artistes/243/Franck-Bohbot.aspx

 

Dans la boutique je repère également les photographies de Bernhard Hartmann représentant la Bibliothèque de Stuttgart entièrement blanche mis à part la tranche des livres.

Fiche de Bernhard Hartmann sur YK : http://www.yellowkorner.com/artistes/242/Bernhard-Hartmann.aspx

La confrontation des deux univers est saisissante ! Pour un peu, j’en aurais presque loupé mon train !

 

Si vous avez des amis bibliophiles ou bibliothécaires, qu’ils soient passéistes ou modernistes, sachez donc que Yellow Korner vend les photographies qui illustrent leur passion.

Mise à jour de décembre 2014 : il semblerait que le photographe Franck Bohbot poursuive son travail de photographies des grandes bibliothèques publiques avec des nouvelles photographies à Paris, Rome et Boston. L’auteur parle d’une série « House of books ». A suivre…

Voir l’article The captivating beauty of libraries around the world :  http://www.mymodernmet.com/profiles/blogs/franck-bohbot-house-of-books

Prunksaal

Bibliothèque Nationale Autrichienne Prunksaal

Prunksaal

Juste avant de reprendre l’avion pour Paris et après avoir visité pas moins de 6 expositions consacrées à Klimt, je ne pouvais quitter Vienne sans visiter sa bibliothèque.

Quelques commentaires sur la visite, coordonnées et photos (document PDF) : Prunksaal Visite (mai 2012)

L’explication de la Salle d’apparat (document PDF) : Prunksaal Fiche

Franck Bohbot Mairie Paris

Bibliothèque de l’Hôtel de Ville de Paris

Franck Bohbot Mairie Paris

Franck Bohbot Mairie Paris

La Bibliothèque de l’Hôtel de Ville, anciennement Bibliothèque administrative de la Ville de Paris, a rouvert ses portes récemment, après plusieurs années de travaux.

Ses fonds, qui concernent notamment la science et l’histoire de l’administration parisienne et nationale, le droit, la législation française et de l’Union européenne, remontent jusqu’au 16ème siècle.

Document intialement mis en ligne en mai 2012.

Quelques commentaires sur la visite, coordonnées et photos (document PDF) : Visite Bibliothèque Mairie de Paris

New York Public Library Reading Room

New-York Public Library

New York Public Library Reading Room

Visite de la New-York Public Library et de Bryan Park lors de mon passage à New York : commentaires, coordonnées et photos.
Article initialement mis en ligne en mars 2011.

Télécharger la visite (format PDF) : Visite NYPL (29/03/2011)

Et pour compléter, j’ai aimé ce petit film extrait des archives de l’INA.
http://www.ina.fr/video/VDD11020890/la-bibliotheque-municipale-de-new-york-base-ball.fr.html

Pierpont Morgan Library

Pierpont Morgan Library

Pierpont Morgan Library

Visite de la Pierpont Morgan Library, plus qu’une bibliothèque, le musée d’un collectionneur :  commentaires, coordonnées et photos.
Article intialement mis en ligne en mars 2011.

Télécharger la visite : Visite Morgan Library (31/03/2011)

Library of Congress reading room

Bibliothèque du Congrès à Washington

Library of Congress reading roomNatacha Couvert-Tarnowka, Librarian,Records Manager, nous fait découvrir la bibliothèque du Congrès à Washington.
Article intialement mis en ligne en février 2011.

Télécharger la visite (format PDF) : Library of Congress visit

Trinity College Dublin Library

Bibliothèque de Trinity College à Dublin

Trinity College Dublin LibraryNatacha Couvert-Tarnowka, Librarian,Records Manager, nous fait découvrir la bibliothèque de Trinity College à Dublin.
Article initialement mis en ligne ne mars 2009.

Télécharger la visite (document PDF) : Visite de la bibliothèque de Trinity College (Dublin)